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3 DOORS DOWN | Volkshaus, Zurich
14.06.2011
Il était une fois un groupe de college rock au grand succès, générateur de gros hits et doté d'un très bon impact scénique. Dommage que ce groupe ne soit pas monté sur la scène du Volkshaus en juin dernier… De passage en Suisse pour promouvoir leur nouvel album, 'Time Of My Life', les 3 Doors Down ont amené avec eux toute une série de poses de rockstars, ainsi qu'un spectacle visuellement sympathique à grand renfort d'écrans géants, jusqu'à en oublier leur attitude rock'n roll ! Peut-être leur popularité aux États-Unis les aura-t-elle ramollis, quoi qu'il en soit l'énergie qu'ils avaient par le passé a complètement disparu. Début du concert avec 'Time Of My Life', 'Duck And Run' et 'The Better Life'. Le son est fort, le mixage n'est pas une réussite et la sauce ne prend pas. Dès le début du concert, le public reste plutôt détaché. Malgré l'abondance de poses stéréotypées, à mi-chemin entre le rocker et le rappeur, du bassiste Todd ou la surexposition abdominale de Brad Arnold, la situation ne changera pas durant toute la performance. Le groupe nous livrera une set-list composée de tous leurs hits : de 'Away From The Sun' à 'Here Without You', en passant par 'Kryptonite' et 'When I'm Gone', le tout interprété sans émotion. Tout me semble plat et trop routinier ! Ce soir, j'ai vraiment regretté ces concerts joués corps et âme dans l'environnement plus familial de l'Abart Club. [Andy Gaggioli]
mis en ligne le : 06.12.11 par Kelly
GREENFIELD FESTIVAL | Interlaken, Berne
Du 9 au 11.06.2011
Étant l’un des rares festivals suisses dans lesquels sont exclusivement représentées les musiques metal et rock, en passant par le punk et le hardcore, le Greenfield s'est fait, petit à petit, une solide réputation (preuve en est une longue review dans le Rock Hard de juillet) et attire de plus en plus de monde. Pour cette édition c'est bien évidemment le retour de System Of A Down qui a rameuté les foules. Seul petit reproche : on a l'impression que le reste de la programmation tourne toujours un peu autour des mêmes groupes, la plupart étant déjà venus se produire au Greenfield, et on espère que ce 'syndrome Paléo' sera moins marquant sur les prochaines éditions. Sinon, pas grand-chose à redire, hormis le prix des boissons et de la nourriture totalement prohibitif, merci la Suisse.
Jeudi 9 juin
Malgré un temps mitigé, le sourire (légèrement, voire très alcoolisé à l'instar de celui de Travis, private joke) est présent sur la majorité des visages des festivaliers. C'est le punk de Anti-Flag qui nous accueille, pas trop ma tasse de thé et, qui plus est, desservi par un son extrêmement moyen. Un petit tour en vitesse vers la deuxième scène pour bouger la tête sur quelques titres metalcore de The Sorrow puis rapide retour du côté de la scène principale afin d'applaudir Flogging Molly ; ce groupe ricain de punk celtique a non seulement le mérite d'être original mais remporte également un grand succès auprès du public. Une bonne mise en bouche avant le grand retour des arméno-américains de SOAD. C'est sur 'Prison Song' que les quatre mousquetaires lancent leur set et là, grosse déception : le son n'est de loin pas à la hauteur. À dix mètres du premier rang, on a l'impression d'entendre un disque du groupe tant le son est faible et la batterie ultra synthétique, à la Fear Factory, bouffe la voix et le reste des instruments. Si Serj a l'air content d'être là et sautille dans tous les sens, Daron Malakian semble avoir avalé une enclume et ne bouge quasiment pas. Au niveau de la set-list, 'Toxicity' est joué quasi en intégralité avec un bon medley des quatre autres albums contenant plus d'une vingtaine de titres. Mais le son ne s'améliore malheureusement pas et votre serviteur quitte le concert avant la fin de l'histoire afin d'être bien placé pour Dredg. Malgré le peu de monde, ce sera de loin le meilleur concert de la journée avec un son parfait et des musiciens totalement en transe. Leur art-rock mélodico-progressif véritablement unique fait mouche et même les titres plus electro du dernier album prennent une dimension incroyable en live. Une petite heure seulement qui passera à la vitesse de la lumière. À revoir au plus vite ! [PsiloSyn]
Vendredi 10 juin
Le jour le plus hardcore du festival, tout commence à 13h45 avec Kvelertkak, un jeune groupe norvégien qui mélange riffs endiablés et screaming incompréhensible. La petite scène du Greenfield paraît vraiment petite avec la présence de ces six musiciens, dotés d'une énergie qui va lancer l’ambiance pour la journée. Puis c’est au tour de Sick Of It All de faire son entrée sur la grande scène, avec une présentation scénique énergique comme on les aime, parfaitement à l’image des frères Koller ! Suicide Silence, Comeback Kid et Converge suivent sur la petite scène ; trois groupes de hardcore / metal / punk qui vont continuer sur cette puissante lancée, créant une super ambiance et distillant un son digne de ce nom à chaque performance. À 23h30, c'est le deuxième groupe tant attendu du festival, Disturbed, qui fait son entrée sur la scène principale et là, c’est le drame ! Malgré un début enflammé (des flammes sortent de la scène pour annoncer l’arrivée des musiciens) le show n’apparaît pas à la hauteur de leur notoriété, d’autant plus que le son est toujours quasiment inexistant - changer d'ingénieurs du son pour l’année prochaine serait à envisager ! La musique paraît moins bourrine qu’en CD, serait-ce à cause des problèmes de régie son ou du manque de motivation du groupe ? Le public a l’air sceptique et ne semble pas vraiment dedans, les averses n’améliorant pas les choses. À l'instar de SOAD, seul le chanteur David Draiman, semble se faire plaisir en allant d’un coin à l'autre de la scène, bien qu'affichant toujours la même position pour chanter, donnant un jeu de scène un peu bizarre. En fait, les seules choses dignes d'intérêt sont les films diffusés en arrière-plan. Même 'Down With My Sickness', la dernière chanson du set, sonne différemment en live ; sans compter qu'ils se sont permis de finir quinze minutes avant l’heure annoncée... [No More]
Samedi 11 juin.
On arrive déjà au dernier jour du festival et le temps reste mitigé malgré un soleil très présent en début d’après-midi. À mon réveil, j’entends de loin Escape From Sickness, qui semble déverser ses riffs coreux bien lourds teintés de différentes sonorités, sur le site du festival quasiment désert de si 'bonne heure'. Eh oui, il n’est que midi et beaucoup de festivaliers dorment encore ! Début des hostilités avec Caliban, un groupe de hardcore allemand, qui se présente sur la grande scène pour un show de folie. Le chanteur, Andreas Dörner, trop petit est obligé de monter sur un socle pour voir son auditoire bouger au rythme de la musique. Aux alentours de 20h, c’est au tour de Social Distortion, un groupe de rock’n’roll culte, de se présenter sur la grande scène. Tout commence avec 'Bad Luck' et 'Story Of My Life', une de leurs plus célèbres chansons, arrive en troisième position. Le public semblait l’attendre car les applaudissements se sont faits plus bruyants que pour les autres morceaux. Les titres s’enchaînent rapidement et le set se termine sur une reprise de Johnny Cash, 'Ring Of Fire'. Deux heures plus tard, une masse est agglutinée devant la grande scène pour le dernier groupe du festival et crie en cœur : 'Vol-beat ! Vol-beat ! Vol-beat ! '. Depuis jeudi, c’est le premier groupe à se faire acclamer ainsi par la foule. À 22h pétantes, derrière un magnifique coucher de soleil, les Danois apparaissent sur scène. C’est leur second passage sous l'égide du Greenfield et pourtant rien n’y paraît. La foule est en émois dès les premiers accords de 'The Human Instrument' et le restera jusqu'à la fin du show. En résumé, un festival plutôt mitigé tant au niveau des concerts (notamment du son) que de la météo. Espérons que l’édition 2012 sera meilleure. [No More]
mis en ligne le : 15.11.11 par Kelly
GRASPOP METAL MEETING | Dessel, Belgique
24, 25 et 26 juin 2011
Le GMM n’est plus à présenter avec ses quatre scènes : la Mainstage, les chapiteaux Marquee 1 et 2 et la tente nommée Metal Dome. Au menu, une programmation des plus éclectiques, du metal le plus soft à celui le plus extrême. En parlant de ‘soft’, quoi de plus doux que Foreigner ? Que nenni messire ! Et ceci dû à un problème de son décelable dès les premières notes et qui s’avérera récurrent pour tous les groupes du festival. Ce problème porte un nom : ‘Les infra basses’. Vous savez, ces grosses caisses fortes et graves dont les vibrations pénètrent dans tout le corps, jusqu’à ce qu'oreilles et narines vous démangent. Terrifiant !!! Quelle ne fût donc pas notre surprise de découvrir le hit, ‘I Want To Know What Love Is’, avec une grosse caisse qui vous explose la face à chaque coup. Impossible d’échapper à la torture si l’on persiste à rester en face de la scène ; nous avons donc passé tout notre festival, soit à plus de cent mètres de la sono, soit complètement excentrés. Foreigner avec un son aussi virulent qu’un gig d’Immortal, j’en avais rêvé, le Graspop l’a fait !
Parmi les grosses têtes d’affiches, nous retrouvons les Scorpions à l’occasion leur toute dernière tournée des festivals avant une retraite bien méritée et plus qu’indispensable pour certains membres à bout de souffle. D’un côté, Rudolph Schenker (guitare rythmique) et James Kottak (batterie) assurent encore avec une énergie débordante. Et de l’autre, un Klaus Meine (chant) très fatigué et un Matthias Jabs mou du genou n’y croyant plus vraiment et en mode pilotage automatique. Ozzy Osbourne déclarera forfait pour cause d’extinction de voix, ce qui permettra à Judas Priest de gagner une heure de set. Résultat des courses : un show aussi complet qu’en salle avec un Richard Faulkner (le nouveau gratteux) impérial qui est, sans conteste, responsable d’un bon coup de pied dans le derrière de ses potes vétérans. Désormais, Rob Halford a retrouvé son aisance dans les aigus et les tempos, anormalement lents par le passé, ont retrouvé leur niveau d’origine. Inespéré ! Ce sont Rob Zombie et Slipknot qui clôturent le festival. Le premier et son metal technoïde possède un charisme certain, malgré un chant rauque plus qu’approximatif. Le second, encore profondément marqué par la mort de Paul Gray fait preuve d’une rage sans précédent. Parmi les seconds couteaux, nous retrouvons les indécrottables d'Anvil, qui profitent pleinement de leur succès suite à leur film autobiographique. Il est clair que Lips, Reiner et Five sont sur scène comme des poissons dans l’eau, le seul point à déplorer étant la présence de vingt minutes de solos de guitare et de batterie sur cinquante minutes de show. Résultat des courses : de nombreux hits passés à la trappe dont ‘Forged In Fire’. Chez les Norvégiens de Pagan’s Mind, nous avons affaire à de grands professionnels. Leur power metal progressif est interprété de manière chirurgicale. Mais la sauce ne prend pas, les morceaux étant trop alambiqués et pas vraiment taillés pour la scène, sans compter une prestation scénique des plus quelconques. À oublier très vite donc. Du côté des scènes Marquee, certains poids lourds ont fait une forte impression. Sepultura continue son petit bonhomme de chemin, avec des compos vous arrachant littéralement la tête. Et malgré l’abandon d’une bonne frange des fans trouvant de moins en moins de légitimité à la formation brésilienne, force est de constater que jamais le groupe n’avait été aussi soudé et performant, même du temps des frères Cavalera, n’en déplaise aux grincheux. Le gig d’Iced Earth avait comme un goût d’amertume puisqu’il s’agissait de la dernière tournée estivale avec Matt Barlow, une amertume d’autant plus forte que ce chanteur est un véritable tueur. Corrosion Of Conformity, nouvelle formule (en trio avec les trois membres d’origine, excepté Pepper Keenan) revient sur ses racines hardcore en axant leur répertoire sur les albums ‘Animosity’ et ‘ Eye For An Eye’. Du côté des revenants, notons la prestation détonante de DRI, inventeurs du crossover (fusion parfaite entre le punk et le metal). Triptykon, la nouvelle formation de Tom G. Warrior effectuant sa première tournée, envoie du lourd et même du très lourd !!! C’est bien simple, le morceau d’ouverture, ‘Procreation Of The Wicked’ (de Celtic Frost) est joué à une lenteur hallucinante. Un show de doom expérimental des plus pesants. Avis aux amateurs ! La véritable exclu du festival, c’est Dublin Death Patrol, un groupe de thrash ayant la particularité d’avoir deux chanteurs et non des moindres, Chuck Billy (Testament) et Steve Souza (Legacy, Exodus), deux figures de la Bay Area de San Francisco pour un show ultra puissant. Il fût un temps où le Graspop avait une affection particulière pour l’underground ; aujourd’hui, le fest se dirige vers une programmation de plus en plus commerciale, mais il subsiste dans la Metal Dome de quoi satisfaire les irréductibles avec les vétérans de la NWOBHM : Angel Witch et Sweet Savage, le trio new yorkais The Rods ou la vraie valeur montante, Ghost, dont le show satanique théâtral et ses hymnes imparables font mouche à chaque coup.
Un florilège de pointures et de découvertes, un site très bien adapté et agréable à vivre malgré la foule, une organisation sans failles, tels sont les points forts du GMM. Il suffira d’une petite prise de conscience sur le son insupportable évoqué précédemment, et cet événement réacquerra sa réputation de ‘Rolls des festivals’. [Le Gorg & Laurent Divergent]
www.graspop.be
mis en ligne le : 15.11.11 par Kelly
ROCK OZ’ARÈNES | Avenches
04.08.2011
Pour une première (en ce qui me concerne), j’ai bien aimé et pour leur vingtième, ils ont assuré ! La météo était aussi au rendez-vous, pour notre plus grand plaisir, bien que la montée à pied dans le village fût du coup assez rude sous un soleil de plomb. D’ailleurs, l'expérience globale fût assez sportive, surtout quand on veut essayer de voir tous les groupes : stepping pour le passage d’une scène à l’autre et slalom entre les festivaliers. Bref, passons aux choses sérieuses : Rock Oz’ propose une prog entre groupes nationaux et internationaux, Transit approuve ! Les Ass Of Spades - groupe que vous avez pu voir au Transit Fest 2010 – débarquent avec un set bien rodé, leur humour en haut de l’affiche et une performance jouissive ; nous avons eu droit à ‘Beer Of The Dark’ et, surtout, ‘I Wanna Be A Texan’. Shakra a ensuite investi la grande scène, leur set était (trop ?) parfait, pour ne pas dire clean ; le groupe assure, les refrains sont repris par le public et, avec ce show, la promotion de ‘Back On Track’ est bien lancée ! Leur set à peine achevé, il faut entreprendre la montée des marches de l’arène pour rejoindre la petite scène afin d'assister au show de Sideburn, qui assure toujours autant ! C’est rythmé, plein de riffs, ils nous envoient une déferlante de dix titres de pur bonheur. Les morceaux de leur dernier opus, ‘Jail’, sont juste parfaits pour un festival d’été et, on peut le dire : ‘They Live To Rock’ ! J'effectue un retour ultra rapide devant la grande scène - désolée les copines je vous ai honteusement lâchées mais c’était pour la bonne cause – car Clawfinger est le groupe à ne pas manquer. Leur énergie est phénoménale et ça semble contagieux car devant ça déménage bien. Ils nous ont fait la totale avec Zakk dans le public ou sur le podium, André slammant dans la fosse, Jocke qui s’amuse et nous fait rire, Bard repérant un petit devant et lui filant un plectre ; tout ça c’est Clawfinger : un groupe proche de son public, un rap-metal dans ta face, des paroles accusatrices et des titres tels que ‘The Truth’ ou ‘Do What I Say’ qui ont démontré que leur public était toujours bien présent ! Un petit sprint pour essayer de voir Katmandü - formation de l'ex-Krokus, Mandy Meyer - à l'œuvre, ils ont principalement interprété des reprises de Gotthard. Je dois dire que je m’attendais à un peu plus de guitare, je n’ai pas été emballée mais j'avoue que je surveillais ma montre de très près, l’apothéose se rapprochant à grands pas ! Et, tel un coucou suisse, à 23h15 pile nos vœux ont été exhaussés : Motörhead a enfin pris d’assaut la grande scène, devant un public dispersé et de nombreux curieux. Ce qui est certain c’est qu’à partir du moment où les mythiques paroles ont été lancées, c’était parti pour un set mémorable, bien qu'un peu moins animé que celui de Clawfinger. ‘We are Motörhead and we play rock and roll’, je dirais même plus : ils sont le rock'n roll ! ‘Iron Fist’, ‘Stay Clean’ et les classiques, ‘Going To Brazil’, ‘Ace Of Spades’, il me manquait juste le petit ‘Overkill’ et la soirée était parfaite. Merci Rock’Oz, on est partis avec le sourire. [Suzy]
mis en ligne le : 15.11.11 par Kelly
ARCH ENEMY | Z7, Pratteln
22 décembre 2011
Portes : 19h30 | Prix : CHF 42.-
Vous laisseriez-vous tenter par un petit Noël suédois ? Juste avant la dinde et l’indigestion de chocolat nos amis d’Arch Enemy sont de retour et soyez sûrs que les cadeaux musicaux seront distribués de bon cœur ! Maintenant habitués du Z7 ils ont su à chacune de leurs venues combler la salle et le public. Fondé par les frères Amott, le groupe a depuis l’arrivée de leur chanteuse Angela Gossow flirté avec le succès. De retour en Suisse à l’occasion de leur nouvelle tournée ‘Khaos Over Europe’ afin de nous présenter un peu mieux leur petit dernier intitulé ‘Khaos Legions’, je ne doute pas un instant de l’énergie incroyable de cette date ! Il est donc plus qu’un devoir pour tous ceux qui veulent terminer l’année en beauté de se ruer sur leurs billets. They will rise !!! [Maud.R]
www.z-7.ch
mis en ligne le : 09.11.11 par indy
MORBID ANGEL, NECROPHOBIC, BENIGHTED | Rocking Chair, Vevey
Le 3 décembre 2011
Portes : 19h30 | Prix : 40.- CHF
Un festival de brutalité va s’abattre sur la petite ville de Vevey, avec la venue de Morbid Angel et de leurs collègues tout aussi brutaux ! Nervecell aura l’honneur d’ouvrir le bal, un groupe en provenance des Emirats Arabes Unis ! Nous aurons ensuite le plaisir d’en prendre plein la gueule avec nos amis français que l’on connait bien, Benighted. Suivront les Suédois de Necrophobic, amateurs de death / black, vous allez être servis ! Arrivera l’heure de l’apocalypse, avec Morbid Angel et leur montagne de tubes plus techniques et puissants les uns que les autres. Il leur faudra aussi prouver aux fans que leur dernier album en demi teinte est un bon album en live, voilà qui ne sera pas de tout repos pour nos Californiens. Une soirée à ne rater sous aucun prétexte ! Noël en avance ? [Lambideathxmas]
www.rocking-chair.ch
mis en ligne le : 09.11.11 par indy
VOLBEAT | St. Jakobshalle, Bâle
9 novembre 2011
Portes : 18h30 | Concert: 19h30 | Prix : CHF 59.55
Prenez du Metallica, ajoutez Elvis au chant, donnez à ce dernier un look à la Mike Ness (chanteur de Social Destruction) en plus jeune, mixez le tout avec une grosse dose de rock'n roll et de fun, et voilà… vous avez Volbeat ! Une hérésie ? Pas du tout. Les quatre sympathiques Danois sont tout ça. Une base metal qui rappelle beaucoup le Metallica du ‘Black Album’, une attitude rock'n roll / rockabilly et beaucoup d'humour sont les caractéristiques du groupe. Après un très bon premier CD 'Strength/Sound/Songs', le groupe commence à se faire connaître avec le superbe 'Rock The Rebel/Metal The Devil' et une multitude de tournées passant des petits clubs aux gros festivals comme le Wacken. Avec la sortie de 'Guitar Gangsters And Cadillac Blood', Volbeat sont arrivés à un niveau de popularité qui leur permet de tourner en headliner dans les gros clubs et la classe du groupe est arrivée aux oreilles d'un certain Lars Ulrich qui les a voulus pour ouvrir une tournée de Metallica aux States en 2009. Mais depuis la sortie du plus récent ‘Beyond Hell / Above Heaven’, ils sont entrés comme des dragsters au niveau de rockstars, ce qui leur permet de remplir de grosses arènes partout en Europe ! Ils ont fait de la route les petits depuis leur premier concert en Suisse dans un club de deux cents personnes en Argovie ! Que dire de plus ? Ne loupez pas leur concert au St. Jackobshalle de Bâle et… rock'n roll ! [Andy Gaggioli]
www.maspe.ch
mis en ligne le : 02.11.11 par indy
AMON AMARTH
Komplex 457, Zurich | 7 novembre 2011
Les Docks, Lausanne | 11 novembre 2011
Originaire de Tumba en Suède, Amon Amarth est actuellement un des groupes leader du genre viking metal. Avec un son très grave dans le death metal, les textes abordent surtout des thèmes liés aux Vikings et à la mythologie scandinave. Après plusieurs publications, la maturité artistique et la reconnaissance internationale arrivent avec l'album ‘Fate Of Norns’. Amon Amarth partent rapidement en tournée dans le monde, chose qui leur a permis de conquérir une fanbase vraiment énorme, même dans des pays comme les États-Unis ou l'Amérique du Sud où la mythologie scandinave ne fait vraiment pas partie de la culture locale. 'Twilight Of The Thunder God' et le plus récent 'Surtur Rising' catapultent le groupe au niveau de référence dans la scène metal actuelle. Après l'explosive prestation suisse de cet été à Pratteln, ne ratez pas l'occasion de les voir lors des deux prochains concerts de Lausanne et Zurich. Feu, flammes et rage d'Odin t'attendent !
[Andy Gaggioli]
www.amonamarth.com
mis en ligne le : 02.11.11 par indy
DAGOBA, SEDATIVE, BEHIND CYLINDER | Château Rouge, Annemasse
2 décembre 2011
Portes : 20h30 | Prix : 15€
Château Rouge accueillera du gros son pour cette soirée du 2 décembre 2011. En effet, ce ne sont pas moins de trois groupes qui vont se charger de réveiller vos esgourdes. Pour commencer, un groupe du cru annemassien, les deathcoreux de Behind Cylinder qui jouent à la maison, autant dire que l’ambiance sera au rendez-vous. Ensuite, les chamoniards de Sedative se chargeront de vous asséner la dose de death grind bien comme il faut pour vous mettre d’aplomb. Et pour finir, les Dagoba que l’on ne présente plus tellement les Marseillais écument les salles de France et de Navarre depuis une bonne dizaine d’années. Ils viendront défendre leur dernier opus ‘Poseidon’, et il ne fait aucun doute qu’ils vont nous mettre la salle dans un état digne de la fureur du dieu des mers. Les nuits de décembre s’annonçant rudes et froides, rien de mieux que de mosher et headbanger pour se réchauffer, et pour cela on vous conseille de passer la frontière pour cette soirée de fous furieux. [Jérémy]
www.chateau-rouge.net
mis en ligne le : 02.11.11 par indy
OPETH, PAIN OF SALVATION | Komplex 457, Zürich
26.11.2011
Portes : 19h15 | Entrée : 52.80 CHF
En pleine tournée promotionnelle de leur nouvel opus 'Heritage' paru le 16 septembre, Sir Akerfeldt & co seront en Suisse pour une soirée qui s'annonce comme l'une des plus réjouissantes de cette fin d'année car, hormis nos Suédois préférés, ce seront leur non moins talentueux confrères de Pain Of Salvation qui feront office d'amuse-bouche si je puis dire... donc vraiment pas de quoi faire la fine bouche ! Pain Of Salvation qui, au passage, sera également en pleine promotion de leur nouvelle galette 'Road Salt Two'… [Vinch]
mis en ligne le : 15.10.11 par indy
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