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CONCOURS TRANSIT
ELECTRON RAGE (Dookoom, Algorithm, Protohype, Aïsha Devi, L-Za)
L'Usine, Genève
25.03.2016
Pour plus d'infos : http://www.transitmag.ch/index.php?Article=6028
mis en ligne le : 16.05.10 par indy
PETER PAN SPEEDROCK, KARMA TO BURN, HONKY | Gaswerk, Wintertur
Le 05.10.2012
LA soirée rock de l’année pour sûr ! Des groupes survoltés, de véritables machines à démonter des colonnes vertébrales. On commence avec les texans d’Honky, premier power trio de la soirée, ce qui est le cas de tous les groupes ce soir d’ailleurs, le groupe le plus rock’n roll de la soirée également. Des titres tantôt lourds, tantôt rapides, mais joués avec une précision de haut vol et une inégalable envie d’être là et une facilité déconcertante à faire bouger le public. Un grand bravo à eux, n’hésitez pas à jeter une oreille à leur dernier album ‘421’. La suite de la soirée est assurée par Karma To Burn, que l’on ne présente plus. Ce sera une nouvelle fois un set ultra carré, surpuissant et destructeur ! Toute la salle est dans le trip, pas un type stoïque dans la salle. Ça enchaîne les tueries et ils jouent tous les classiques. La présence d’un nouveau batteur n’enlève rien à la puissance ni au groove du groupe, une mention spéciale à lui du reste. Le précédent batteur n’est plus présent actuellement pour des raisons familiales, un retour n’est donc pas exclu, affaire à suivre. Peter Pan Speedrock, les voleurs de vedettes, eux que j’ai vus par deux fois déjà ouvrir pour d’autres et repartir avec les lauriers, ont fait une bonne prestation, mais rien d’incroyable non plus. Leur rock ultra énergique fonctionne à merveille, mais manque de puissance après un Karma To Burn en grande forme. Cela ne les empêchera pas de faire un set ultra rapide et survolté qui donnera naissance à de joyeux pogos dans la salle. Le public sera tout de même moins impliqué que pour le début de soirée. Le groupe mélange les titres de tous les albums et n’oublie pas un seul hit ! Une soirée démentielle, vivement la prochaine.[Lambispeedrockkarmik]
www.gaswerk.ch
mis en ligne le : 04.11.12 par indy
BRAIN POLICE, GREEN LEAF, THE GRAVIATORS, MIRROR QUEEN, PROCESS OF GUILT | L’Usine, Genève
Le 18.10.2012
Une soirée d’exception que celle-ci, une avalanche de groupes, soit cinq au menu, mais une soirée qui fait penser aux quatre éléments associés à l’Ether. Je m’explique, chaque groupe a une couleur ou un élément qui lui est propre, au sens musical du terme cela s’entend. La soirée débute avec l’Ether, soit Process Of Guilt, groupe rajouté à l’affiche en dernière minute mais qui aura, avec son doom / sludge de grande qualité, raflé une partie des lauriers, une ambiance ultra dark, un set de vingt-deux minutes absolument intense et d’une lourdeur abyssale, merci à l’Usine et à Division Records pour cette surprise de taille ! On continue avec le Vent, élément attribué à Mirror Queen, qui n’aura fait que passer en coup de vent justement, une trentaine de minute d’un rock aux influences stoner très moyen, répétitif et pas entraînant pour un sou. L’heure est à l’Eau maintenant, elle nous fera oublier le Vent avec facilité, en effet, The Graviators, avec son stoner typique suédois, nous fera monter d’un étage en qualité et en puissance, leurs rythmiques lourdes et groovy à souhait, les solos heavy endiablés et le chant sabbathien auront mis la salle en transe pour la première fois de la soirée, sans parler de la bouteille de Jack qui a fait la joie des fans. Arrive sur scène Green Leaf, associé à la Terre qui, bien arrosée au Jack justement, nous délivre un set survolté, un chanteur au bord de l’arrêt cardiaque, un guitariste d’une dextérité certaine et une section rythmique à faire groover des cadavres ! Une véritable machine à riffs efficaces. Il ne reste que le Feu, vous l’aurez compris, et pour l’anecdote, il nous vient d’Islande, le pays gelé par excellence, mais Brain Police et son stoner hors normes, véritable rouleau-compresseur, aura amené une chaleur palpable dans la salle. Je vous parlais de la transe obtenue pas The Graviators, multiplié par dix pour le résultat obtenu par Brain Police ! Lourd, puissant, impossible à arrêter (qui le voudrait en même temps) d’une précision chirurgicale, une présence scénique parfaite et oui, vous l’aurez compris, vous avez raté une soirée d’anthologie. C’est la première fois que je vois un public empêcher physiquement un groupe de quitter la scène, à deux reprises de plus, merci à la dream team barbue et toute en favoris pour ces deux titres supplémentaires obtenus. [Lambibrainbanger]
www.usine.ch
mis en ligne le : 04.11.12 par indy
H’ELLES ON STAGE 2012 | MJC Ô Totem, Rillieux-La-Pape (France)
Les 5 et 6 octobre 2012
La cinquième édition de ce H’Elles On Stage a réussi son pari : attirer encore plus de monde et s’étendre sur deux jours (vendredi soir et samedi fin d’après-midi). De fait, l’équipe des Femâles n’a pas ménagé sa peine pour nous proposer une belle affiche chaque jour et faire en sorte que tout se passe pour le mieux. C’est au jeune groupe Evenpath que revient l’ouverture du vendredi et Sarah et son band y mettent une belle énergie, meilleure que sur leur EP. Suit Héliantha, également plus forts sur scène que sur leur galette, une musique technique aux thématiques intéressantes et avec une magnifique voix planante : un de mes deux coups de cœur de ce vendredi. Vient Fenrir, qui propose un festif folk metal et d’un coup on se retrouve dans une taverne moyenâgeuse où la cervoise coule à flots. Deuxième coup de cœur de ce vendredi : Ex-Libris, formation hollandaise au style complexe, maîtrisé par le groupe et surtout une chanteuse impressionnante de technique et de présence, tout autant que par sa voix remarquable. La première soirée met en headline les régionaux les plus connus, à savoir Kells avec une Virginie toujours débordante d’énergie, tant que ses accessoires de scène et son bustier en garderont le souvenir… Le samedi voit un public nombreux se presser dans une salle désormais à tout point de vue surchauffée. Le jeune groupe Dreamslave entre pour une bonne prestation avec sa chanteuse, la belle Emma, en grande toilette. Tenue de gala également pour Claire-Lyse d’Elferya qui après une mise en place un peu longuette nous ravira les oreilles de son chant lyrique. Les Vaudois innovent ce soir avec la présence sur scène d’une violoniste et d’une flûte pour un morceau instrumental. Suivent nos chouchous de Céphée Lyra qui viennent ce soir nous présenter de magnifiques nouvelles compositions à paraître sur un futur EP. Le groupe a trouvé sa formation idéale et Maud enflamme la salle de sa voix profonde. Asylum Pyre prend la suite pour leur grand retour à la scène après un changement de chanteuse, car ce soir c’est la blonde Chaos Heidi qui prête sa voix sur les nouvelles compositions à la grande satisfaction de l’auditoire. Nouveau coup de cœur ce samedi avec les Belges de Lovenlorn Dolls : musique et textes originaux, bien en place, une chanteuse à mi-chemin entre Mercredi Addams et Amélie Nothomb, que l’on n’oubliera pas grâce à sa voix et son jeu sur scène. Viennent ensuite les deux grosses formations de la soirée Darialda et son metal folk très typé de Hongrie, mais surtout Arkona, venus de Russie et que de nombreux fans attendaient. Masha, chanteuse growleuse attitrée entre en scène avec une rage épileptique et un charisme certain, sans se séparer un instant de sa peau de bête, malgré une température plus que digne d’un sauna… Aux côtés d’excellents musiciens dont un joueur de cornemuse, on assiste à un show de pagan metal de très haut niveau et le public ne s’y trompe pas. Malheureusement le festival s’achève, il nous faut prendre congé des Femâles en les remerciant encore une fois de proposer cet événement à l’ambiance si sympathique et à la grande diversité des genres. Revenez-nous vite avec une belle affiche pour la sixième édition ! [Pascal]
www. hellesonstage.com
mis en ligne le : 04.11.12 par indy
PARKWAY DRIVE, EMMURE, THE WORD ALIVE, STRUCTURES | Komplex 457, Zurich
Le 26 novembre 2012
Portes : 18h30 | Show : 19h00 | Prix : CHF 45.- (www.starticket.ch)
Il y a quelques années, ils n’étaient qu’un petit groupe talentueux venant de Byron Bay, jolie ville sur la côte australienne. Maintenant Parkway Drive est l’un des groupes phares de la nouvelle vague metalcore. Breakdowns, grosses guitares, une voix qui hurle rage et puissance acquises par des centaines de concerts autour du monde… Eh oui, parce que les sympathiques surfers sur scène ont un impact énorme et il est difficile de ne pas rentrer ‘dans la danse’. Mais leur rage a une attitude positive, solaire et pleine d’humour typiquement ‘aussie’. Après le succès du troisième album ‘Deep Blue’ et les interminables tournées mondiales, Parkway Drive vont nous rendre visite une fois encore pour nous présenter leur nouvel opus, ‘Atlas’, sorti à la fin octobre. Pour les accompagner il y aura Emmure, un autre groupe qui a su se faire remarquer ces dernières années, ainsi que The Word Alive et Structures. Une soirée pour tout fan de breakdowns, mosh, circle-pits et walls of death ! [Andy Gaggioli]
www.abart.ch
www.komplex457.ch
mis en ligne le : 31.10.12 par indy
HARDLINE | Danger Zone (2012)
Frontiers
Je ne sais pas si certains d’entre vous se rappellent de ce groupe américain qui, au moment de sa création en 1992, avait défrayé la chronique car il était considéré comme un super groupe ; comptant en son sein des pointures du hard mélodique ricain, à savoir notamment : le guitariste Neal Schon (Journey, Bad English) et les frérots Gioeli, Johnny et Joey (Brunette). Si ‘Double Eclipse’ est à classer dans les disques cultes, on peut aussi dire qu’il portait un titre prémonitoire car le groupe s’est éclipsé vite fait. Johnny a ensuite trouvé de l’embauche chez Alex Rudi Pell et il est devenu, avec le temps, la marque de fabrique du guitariste allemand. À tel point que l'on peut difficilement les imaginer l’un sans l’autre. Mais l’envie de varier les plaisirs a été plus forte et Johnny a reformé Hardline au début du millénaire avec le guitariste Josh Ramos (The Storm, Two Fires), sortant dans la foulée deux bons albums de hard mélodique, ‘II’ (2002) et ‘Leaving The End Open’ (2009). Avec ‘Danger Zone’, on est témoin de la politique du label italien Frontiers, qui met le paquet pour faire revivre le hard des eighties et reformer les groupes qui ont bercé nos jeunes années. Et tant pis si le groupe ne compte plus qu’un seul musicien original. Hardline revient donc à la vie pour la troisième fois, et cette fois-ci c’est le claviériste Alessandro Del Vecchio (Edge Of Forever) qui s’est collé à l’écriture des morceaux, sous les auspices du grand boss de Frontiers, Serafino Perugino. La voix de Gioeli est toujours aussi belle et se marie magnifiquement avec ce style musical (‘Fever Dreams’, ‘Stay’) mais je dois avouer que la magie n’est plus au rendez-vous et que le soufflé est retombé depuis longtemps. Si le groupe avait choisi un autre nom, peut-être que la sauce aurait eu un autre goût, mais à trop vouloir jouer avec le passé on perd la saveur et on perd le sens. ‘Danger Zone’ n’est rien d’autre qu’un bon disque de hard mélodique mais reste un disque moyen de Hardline, et il y a de très fortes chances que ce projet reste sans lendemain, comme une foule d’autres lancés par il signore Perugino. Si vous aimez Journey, Giant et Mastodon, vous apprécierez certainement cet album. Mais bon, tout a été dit depuis (très) longtemps. [Etendhard]
www.hardlinerocks.com
mis en ligne le : 29.10.12 par levlic
CASTLE | Blacklands
Ván Records
Du heavy, du lourd, du puissant ! Comme ça fait du bien, c’est vraiment de plus en plus rare. Un album frais, puissant, sans fioriture, un album que l’on a envie d’écouter fort, très fort même. Il s’agit seulement du second album du power trio californien Castle, pourtant on sent une énergie dévastatrice, une envie de conquérir le monde avec leur musique, où est-ce seulement le côté épique de cette rondelle qui produit cet effet ? Le groupe a mis en avant bien des textures dans les lignes de guitares, le chant de la bassiste, Elizabeth Blackwell donne également une dimension particulière aux morceaux du groupe. Avoir confié l’enregistrement de l’album à Billy Anderson (Neurosis, Eyehategod et Sleep) était une riche idée, le son est vraiment 'gros', tout en possédant des dégradés et des couleurs musicales que l’on ne s’attend pas entendre dans l’artillerie d’un groupe comme Castle. La présence sur certains titres de riffs thrash n’est pas déplaisante non plus. Le seul hic vient de la durée de l’album, moins de quarante minutes pour huit titres, c’est vraiment pauvre pour l’auditeur. La qualité compense largement, mais il fallait bien trouver un ou deux défauts. Le second est que le groupe tend quand-même à une répétition par moment, mais rien de bien alarmant non plus. Je vous souhaite une bonne écoute ! [Lambiheavycastle]
www.heavycastle.com
mis en ligne le : 29.10.12 par levlic
BULLET | Full Pull
Nuclear Blast
Bullet, c’est vraiment le rêve qui devient réalité. Imaginez ! Ce petit groupe suédois au nom pas très original et de plus ‘emprunté’ à un heavy metal band teuton des eighties sort un mini CD en 2003, ‘Speeding In The Night’, sur un minuscule label. Son hard rock, mélange de AC/DC et d’Accept, fait mouche, du moins auprès du label scandinave qui les signe et qui va l’accompagner sur trois albums entre 2006 et 2011. Jusqu’à l’arrivée de Bullet chez le grand Nuclear Blast, le label synonyme de réussite, du moins en matière de metal. Et ce ‘Full Pull’ est donc le premier fruit de cette union métallique. La musique de Bullet n’a pas évolué d’un iota depuis ses débuts. Ne voyez rien de péjoratif dans mes propos, ce n’est qu’une constatation, car le style pratiqué par la bande aux potes Hampus Klang et Hell Hofer semble tellement avoir été joué et rejoué des milliers de fois que l’on aurait tendance à penser qu’il pourrait peut-être explorer de nouveaux territoires. Eh ben non ! Ça sonne AC/DC de la première à la dernière note, et peut-être encore plus maintenant qu’hier. C’est d’ailleurs assez impressionnant le nombre de groupes qui ont été influencés par la bande aux frères Young. Les Beatles et les Rolling Stones, Deep Purple et Led Zeppelin ont certainement eu autant d’impact que nos Aussies chéris, mais c’est assurément le seul groupe qui a été autant plagié dans son style. Mais il faut croire que le paysage n’est pas encore assez encombré par ces groupes parce que le public ne cesse d’en redemander. Il n’y a pas de doute que Bullet saura faire son effet sur scène et que sa musique va en ravir plus d’un par son dynamisme et son rythme binaire. Les morceaux sont courts, simpl(ist)es, et chantés par un autre enroué. C’est comme si faire du AC/DC avec un chanteur à la voix normale serait un sacrilège. Sur ‘Rolling Home’, le groupe innove (c’est peut-être un grand mot) en incluant quelques claviers et, étonnamment, ça marche ! Est-ce une direction à creuser pour Bullet ? Peut-être car un nouvel album comme celui-ci risquerait de fatiguer l’auditeur. En effet, la durée de vie des copieurs est inversement proportionnelle à leur nombre… Si vous aimez AC/DC… eh ben continuez de l’écouter ! Quant à Bullet, il n’est intéressant que quand il s’affranchit de l’influence de ses idoles. Et ça se mesure en secondes !!!... Bof ! [Etendhard]
www.bullet.nu
mis en ligne le : 29.10.12 par levlic
DEPECHE MODE
Vendredi 7 Juin 2013
Stade de Suisse, Berne
Portes: 16:00 – Concerts: 19h00
Tickets: Fr. 168.70 / 164.35 / 141.70 / 89.00 (www.ticketcorner.ch)
Les new wavers des années quatre-vingt les adorent, les gothiques les aiment tout comme les rockers les plus durs. En trente ans de carrière, Depeche Mode ont atteint un statut énorme en devenant des megastars mondiales, mais toujours en restant plus ou moins fidèles à eux-mêmes. Les cent millions de disques vendus dans le monde sont une confirmation de ce succès. Tous les fans du groupe étaient donc en attente fébrile de l’annonce de la nouvelle tournée, qui arrive deux ans après l’énorme succès du dernier ‘Tour of the Universe’ (plus de deux millions et demi de spectateurs en cent quarante-deux concerts !). Ce retour sur la route coïncide avec la sortie d’un nouveau CD au début 2013, mais ceci est une autre histoire. La seule étape suisse de la tournée touchera les rives du fleuve Aar vu que le groupe jouera au Stade de Suisse à Berne en juin 2013. Précipitez-vous pour obtenir vos billets car les derniers concerts chez nous ont toujours été sold-out ! [Andy Gaggioli]
www.goodnews.ch
www.depechemode.com
mis en ligne le : 27.10.12 par indy
STONE SOUR & PAPA ROACH | Komplex, Zurich
Le 27 novembre 2012
Portes : 18h30 | Concert : 19h30
Prix : CHF 58.00
Stone Sour en concert c’est un peu plus d’une heure d’énergie pure, un son parfait et un des meilleurs chanteurs du moment. Ils nous ont pondu déjà trois CDs magnifiques, et leur dernier opus ‘House Of Gold & Bones’ est prévu dans les bacs très bientôt. Et puis merde, rater l’occasion de vivre en live ‘Get Inside’ ou encore ‘30/30 – 150’ et les superbes ‘Bother’ ou ‘Through Glass’ c’est juste pas possible. Et franchement quel meilleur moyen d’oublier les tracas du quotidien que d’aller voir un concert qui nous laissera encore sous le charme, une telle hargne et une telle puissance, un concert intense et bourré d’émotions, voilà ce qui nous attend. Et le charisme de Corey Taylor est indéniable. L’autre groupe de la soirée sera Papa Roach, avec ses titres accrocheurs tels ‘Last Resort’ ou encore ‘Hollywood Whore’, perso je veux juste entendre ‘To Be Loved’... Je sais, c’est un mardi, mais il ne faut pas rater une occasion de s’éclater, je te conseille plutôt de le noter tout de suite dans ton agenda, c’est un ordre, un conseil, une suggestion quoi, tu vas passer une soirée inoubliable. [Suzy]
www.komplex457.ch
mis en ligne le : 27.10.12 par indy
MY DYING BRIDE | Z-7, Pratteln
Le 13 décembre 2012
Portes : 19h30 | Prix : CHF 39.50
Les occasions de voir My Dying Bride sur scène ne sont pas légion. Les occasions d’assister à un show des tristes sires dans de bonnes conditions (entendez : ailleurs que sur une scène de festival en plein jour et sous une température dépassant les trente degrés peu compatible avec un doom glacial) sont carrément inexistantes. Aaron Stainthorpe n’en fait pas mystère : il n’aime pas le live. La dernière tournée digne de ce nom de My Dying Bride remonte donc à pas moins de douze ans (!!!), et était alors passée par le Z-7. Dans de telles conditions, on ne fera guère la fine bouche à l’idée de se taper deux cents bornes pour retrouver la salle bâloise ! Car la noire alchimie que la formation parvient si bien à capter sur CD se retrouve pleinement sur scène : théâtrale, désespérée, torturée, la performance du groupe est une expérience à ne pas rater. My Dying Bride reste clairement l’un des groupes les plus sombres et douloureux d’une scène doom souvent sclérosée et propose depuis ses débuts une musique racée et poignante. Les dix premiers albums des Anglais l’ont prouvé et les premiers extraits disponibles du petit nouveau, joyeusement baptisé à ‘Map Of All Our Faillures’ (Une cartographie de nos échecs) semblent faire honneur à cette tradition. Un véritable événement. [Dave]
www.z-7.ch
mis en ligne le : 27.10.12 par indy
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