TRANSIT MAGAZINE - Swiss Metal Magazine

CONCOURS TRANSIT


ELECTRON RAGE (Dookoom, Algorithm, Protohype, Aïsha Devi, L-Za)
L'Usine, Genève
25.03.2016

Pour plus d'infos : http://www.transitmag.ch/index.php?Article=6028

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mis en ligne le : 16.05.10 par indy

PREVIEW - PUB - Next in Kulturfabrik Kofmehl, Soleure

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mis en ligne le : 25.10.10 par indy

PREVIEW - SCORPIONS | Hallenstadion, Zurich – 10.11.2010

SCORPIONS | Hallenstadion, Zurich
10 novembre 2010
Portes : 19h | Prix : CHF 75.- (parterre) et CHF 85.- (tribune)

Avec quarante ans de carrière et plus de cent millions de disques vendus, les Scorpions sont sans doute le groupe rock allemand (voire d’Europe occidentale) ayant connu le plus grand succès. La liste des hits comme ‘Still Loving You’ ou ‘Rock You Like A Hurricane’ est sans fin. Plus de deux cents disques d'or et de platine témoignent du succès énorme de Rudolf Schenker, Klaus Maine et de leurs collègues. En janvier de cette année, le groupe annonçait la sortie d'un nouveau CD, ‘Sting In The Tail’, et une toute dernière tournée mondiale avant d'arrêter toute activité (ou du moins en live). Avant de se séparer de leurs fans suisses, les Scorpions vont jouer un tout dernier concert au Hallenstadion de Zurich, où ils vont nous prouver pour une dernière fois toute leur capacité de leaders sur scène. Donc ne loupez pas cet événement parce qu'il s'agit de votre toute dernière occasion de voir en concert ce groupe historique. [Andy Gaggioli]

www.goodnews.ch

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mis en ligne le : 25.10.10 par indy

PREVIEW - AS I LAY DYING | Volkshaus, Zurich – 04.11.2010

AS I LAY DYING, HEAVEN SHALL BURN, SUICIDE SILENCE, ROOTS OF DEATH | Volkshaus, Zurich
4 novembre 2010
Portes : 19h | Prix : CHF 50.-



Hé, ho ! Hé, ho ! On rentre du boulot ! Et pis on revêt son plus beau T-shirt de groupe et on fonce à la Volkshaus. Ce jeudi-là, une grosse affiche de metalcore comme on les aime. La seule différence avec les autres soirées, c'est qu'avec le temps, les trois pointures de cette affiche ont pris du cachet. Qu'à cela ne tienne, c'est quand même pas moins qu’As I Lay Dying, Heaven Shall Burn et Suicide Silence qui composeront ce plateau de boucherie. Et il ne faut pas oublier qu'en entrée ce sont les sympathiques et efficaces Roots Of Death qui seront servi. Bref cela vaudra la peine d'arriver tôt. En attendant, on prend tous nos beaux T-shirts et on va mosher sur du gros lourd ! [Kémar]

www.volkshaus.ch

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mis en ligne le : 25.10.10 par indy

NEWS - 19.10.2010 : PROPHECY PRODUCTIONS – Releases

Le 29 novembre sortiront les nouveaux albums de :
ANTIMATTER, 'Alternative Matter', une compilation d'anniversaire (leurs 10 ans) de moreaux jamais édités ainsi que des versions acoustiques d'anciens titres.
www.myspace.com/antimatterband

NUCLEUS TORN avec 2 CDs !
'Andromeda Awaiting', qui complète la trilogie après 'Nihil' (2006) et 'Knell' (2008).
'Travellers', compilation de leurs premiers EP et demos.
www.myspace.com/nucleustornband

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mis en ligne le : 19.10.10 par Naryelle

CD - SOULFLY | Omen (2010)

SOULFLY | Omen
Roadrunner Records



Soulfly et son membre fondateur Max Cavalera se sont baladés durant toutes ces années dans divers univers musicaux qui ont certes rendu intéressant leur parcours, mais qui ont également parfois mis une grosse confusion parmi les fans du groupe. À trop vouloir explorer, Max s’est parfois perdu et les retrouvailles musicales avec son frère Igor sur le projet Cavalera Conspiracy semblent lui avoir ouvert les yeux. Après un ‘Conquer’ prometteur, Soulfly revient avec ‘Omen’ qui rappelle le thrash du Sepultura de l’époque. Heavy, l’album l’est assurément, puissant et mature sont deux autres termes qui peuvent décrire cet album. Tout juste peut-on lui reprocher le manque de risque pris par Max & Co mais, comme d’un autre côté, on lui a souvent reproché de trop s’éparpiller… difficile de trouver un juste milieu. Les amateurs de Sepultura, période 'Chaos', ou de Cavalera Conspiracy seront aux anges, les amateurs du côté tribal de Soulfly, eux, risquent de rester un peu sur leur faim. [Indy]

www.soulflyweb.com

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mis en ligne le : 19.10.10 par graber

CD - SABATON | The Coat Of Arms (2010)

SABATON | The Coat Of Arms
Nuclear Blast Records



En voilà un petit groupe qui a fait du chemin ! Je me rappelle l'avoir vu en live en 2005 après la sortie de son premier album 'Primo Victoria'. Sa prestation m'avait légèrement déçu car le chanteur, Joakim Broden, montrait des limites criardes, insoupçonnables sur CD. Justement, les productions du groupe se sont enchaînées et ont toujours été d'une qualité irréprochable. Après deux albums, Sabaton s'était construit une image et un son. C'est assez rare pour le signaler ! 'Attero Dominicus' en 2006, 'Metallizer' en 2007 (en fait la réédition remixée du tout premier album sorti en 2000 et intitulé 'Fist For Fight') et 'The Art Of War' en 2008 allaient enfoncer le clou suffisamment profond pour faire de ce groupe un des fers de lance du heavy metal scandinave, voire européen. Avec sa musique guerrière bourrée de claviers, de guitares et de mélodies imparables, Sabaton est de retour après deux ans de silence (un bail !) avec 'The Coat Of Arms', sorti chez les Allemands de Nuclear Blast. Le visuel ne laisse pas beaucoup douter l'auditeur, il se situe dans la droite ligne de Running Wild (un autre groupe qui parle aussi beaucoup de guerre) avec son aigle aux ailes de feu. Il aura droit à du heavy metal sans concession. Dès les premières mesures de 'The Coat Of Arms', le morceau, les données sont claires. Rien n'est vraiment modifié par rapport aux précédentes sorties. C'est du Sabaton pure souche ! Ce mimétisme entre les albums est à double tranchant. Cela peut être sécurisant pour l'auditeur. Il sait qu'il peut acheter les oreilles bouchées et qu'il ne sera pas déçu. D'autres groupes fonctionnent de la sorte et non des moindres, à témoin Axel Rudi Pell, AC/DC ou encore Running Wild pour n'en citer que trois. Mais le fan pourrait aussi attendre un brin d'audace et trouver qu'il est presque impossible de jouer au jeu des différences entre les quatre albums. Vous l'aurez compris, 'The Coat Of Arms' est un excellent album pour ceux qui adorent Sabaton, il est inécoutable pour ceux qui exècrent le groupe, et les 'jamais contents' comme moi le trouveront trop convenu. [Etendhard]

www.sabaton.net

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mis en ligne le : 19.10.10 par graber

CD - RHAPSODY OF FIRE | The Frozen Tears Of Angels (2010)

RHAPSODY OF FIRE | The Frozen Tears Of Angels
Nuclear Blast Records



Quatre ans après un ‘Triumph Or Agony’ en demi-teinte, Rhapsody (je ne m'habituerai jamais à dire le nom du groupe en entier ; stupide affaire de copyright) est de retour ! Un retour retardé par une sombre histoire de procès entre le groupe et Magic Circle Music, leur ancien label, fondé par le bassiste de Manowar, Joey DeMaio. Ce nouvel album, intitulé sobrement ‘The Frozen Tears Of Angels’ – que j'adore ces titres à rallonge ! – devait donc symboliser le renouveau de Rhapsody. Surtout après l'excellente nouvelle de leur signature chez Nuclear Blast ; on pouvait légitimement avoir de grandes espérances pour le futur des Italiens. Peut-être verrons-nous d'ailleurs enfin Rhapsody effectuer une tournée digne de ce nom ? En tout cas, en ce qui concerne la musique, les espoirs sont entièrement confirmés. ‘The Frozen Tears Of Angels’ est direct, puissant, plus proche d'un ‘Power Of The Dragonflame’ que d'un ‘Symphony Of Enchanted Lands II’. Plus de la moitié de l'album est composée de titres speed et épiques au possible, rappelant souvent les bons vieux ‘Dawn Of Victory’ et ‘Emerald Sword’. Mention spéciale à un des meilleurs titres de Rhapsody de tous les temps, ‘Reign Of Terror’, titre agressif sublimé par des chœurs tragiques et par un Luca Turilli au sommet de son art. Un retour plus que réussi pour Rhapsody, qui fait vraiment très plaisir ! [Jonathan]

www.rhapsodyoffire.com

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mis en ligne le : 19.10.10 par graber

PREVIEW - PUB - NEXT : Free & Virgin présente

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mis en ligne le : 17.10.10 par indy

PREVIEW - Anathema | Rocking Chair, Vevey – 09.11.2010

Anathema | Rocking Chair, Vevey
09 novembre 2010
Portes : 19H30 | Prix : CHF 35.-



Après sept longues années d'attente, les British d'Anathema ont enfin fini par sortir leur nouvel album 'We're Here Because We're Here' au printemps passé. Loin des relents doom-goth dépressif de leurs débuts, cet opus rayonne d'ondes positives et de joie de vivre. Un rock étheré et lumineux produit par l'incomparable Steven Wilson (Porcupine Tree). Après leur magnifique performance aux Docks fin 2008, c'est un concert à ne rater sous aucun prétexte qui va illuminer le Rocking Chair de Vevey. Fans de Pink Floyd et autres Radiohead vous savez ce qu'il vous reste à faire !

www.rocking-chair.ch

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mis en ligne le : 17.10.10 par indy

INTERVIEW - Dossier Nyon's On Fire (2010)

Les 29 et 30 octobre prochain aura lieu la troisième édition du Nyon’s On Fire. Mettre le feu à Nyon, voilà l’idée que l’association Heimathome s’est chargée de mener à bien contre vents et marée. Proposant une affiche variée composée de groupes du cru à un prix plus que raisonnable, le festival ne cesse de surprendre grâce à la qualité des groupes proposés. Il était temps de leur ouvrir nos colonnes afin que Randy, El Presidente d’Heimathome, nous présente plus en détail leur projet et le futur de ce Nyon’s On Fire.



- Pour ceux qui ne connaîtraient pas ce festival, voici venir la troisième édition de Nyon’s On Fire. Pourrais-tu le présenter ?

Ce festival est né il y a trois ans sous l’impulsion de l’association Heimathome. À la base, nous n’organisions que des events metal et on s’est dit que ce serait cool d’organiser un festival qui rassemblerait le metal avec d’autres styles musicaux tels que le rock et l’electro. De plus, le but de Nyon’s On Fire est de proposer une programmation variée et de qualité à des prix (boissons et entrée) plus que raisonnables pour permettre aux jeunes de venir s’éclater avec un petit budget. La particularité de notre festival est de privilégier la scène locale qui compte beaucoup à nos yeux.

- Combien êtes-vous à travailler sur ce projet ?

Nous sommes plus d’une quinzaine de personnes actives dans l’association, mais la particularité d’Heimathome est que nous sommes avant tout un groupe d’amis. Je m’occupe de toute la préparation (sponsoring, programmation, presse…) avec un peu d’aide par-ci par-là. Lors du festival, tous les membres d’Heimathome mettent la main à la pâte en s’occupant d’assurer la cuisine, le staff, la sécurité, les nettoyages, etc. Sans eux, un tel projet n’aurait jamais pu voir le jour et je tiens encore à les remercier.

- Cette édition a une affiche des plus intéressantes, peux-tu nous parler des groupes ?

Cette année, nous avons décidé d’intégrer de plus gros poissons à la programmation. Le vendredi sera purement metal avec Benighted, Sybreed, The Arrs, Voice Of Ruin et Spylown tandis que le samedi voguera du côté du rock et de l’electro avec BAK XIII, Datura Sunday’s Walk, June Deville, The Deers et plusieurs DJs electro de la région en guise d’after party.

- Comment se passe la sélection des groupes, qui décide ?

Durant l’année, je sélectionne les groupes que je verrais bien à l’affiche et demande aux membres de l’association s’ils ont des propositions. Ensuite, je rassemble le tout et je concocte la programmation idéale.

- Vous n’avez jamais eu de grosse tête d’affiche au nom bien ronflant, est-ce voulu ou une simple réalité économique ?

Dès le départ, nous avons opté pour une croissance modérée afin de ne pas être endettés après une ou deux éditions. Cette année, nous avons intégré de plus gros groupes tels que Benighted, Sybreed, The Arrs ou encore BAK XIII à notre programmation. Nous nous agrandissons donc lentement, mais sûrement.

- En parlant d’économie, avec tous les festivals qui existent, qui sont subventionnés, etc., il ne doit pas être simple d’arriver à organiser un festival sur deux jours comme le tien, comment vous y prenez-vous, vous avez des partenaires précis ?

Le plus dur est certainement le financement d’un tel projet. La plus grosse partie du travail est de trouver des fonds afin de pouvoir clôturer les comptes sans être dans le rouge. Nous avons donc beaucoup de partenaires dont la banque Raiffeisen, la bière du Boxer, la Ville de Nyon et la Loterie Romande pour ne citer que les principaux. Sans eux, nous ne pourrions pas survivre et nous tenons encore à les remercier infiniment.

- J’ai toujours été surpris par la variété des styles proposés, est-ce un peu votre but de proposer cette espèce de découverte musicale ?

Oui, notre but est clairement de varier les styles tout en restant alternatif. Ensuite, Heimathome a toujours eu l’habitude de proposer des découvertes à son public et nous gardons cette tradition avec Nyon’s On Fire.

- Avez-vous des limites dans les styles que vous voulez proposer ?

Aucune limite tant que le groupe est cool et alternatif… mais du coup, ça fait quand même une limite (rires).

- Y a-t-il des groupes ou des prestations qui t’ont surpris ?

Personnellement, je me rappelle la prestation d’Artonwall qui était bien barge ou celle de Camion qui était excellente.
Pour être franc, je n’ai pas le temps de déguster les prestations des groupes durant le festival. Mais généralement, ce sont des artistes que j’ai déjà vus et appréciés vu qu’ils font partie de la programmation. Cependant, je me rappelle qu’Artonwall et Camion avaient marqué les esprits.

- Pour avoir assisté aux éditions précédentes, j’étais un peu déçu du peu de personnes présentes malgré des affiches variées et intéressantes. Comment vis-tu ceci, surtout qu’il y a beaucoup de groupes dans la région nyonnaise, donc il devrait y avoir beaucoup de public, non ?

Je pense que Nyon est une ville qui a un peu le cul entre deux chaises car elle se situe entre deux grandes villes (Genève et Lausanne). Il faut donc une affiche de qualité pour réussir à ramener les deux côtés à Nyon. La première édition avait bénéficié d’un franc succès et nous avions fait le plein. La deuxième fut plus mitigée, mais nous n’avions pas fait de pertes. Cette année, nous avons une programmation plus complète et plus alléchante au niveau des têtes d’affiche, raison pour laquelle nous sommes plutôt confiants quant à l’affluence de ce troisième volet.

- Beaucoup se plaignent que les festivals sont trop formatés, manquent d’originalité, mais en même temps beaucoup ne prennent pas le temps de venir découvrir de nouveaux talents dans des festivals plus basés sur la découverte comme le tien, ne trouves-tu pas ça injuste ?

Je ne pense pas que ce soit injuste, mais tout simplement une réalité qu’il faut accepter. Les gens aiment venir voir des artistes qu’ils connaissent, mais n’hésitent pas à se plaindre lorsque l’entrée devient trop excessive, par contre ils n’ont pas envie de venir découvrir de bons groupes pour un prix d’entrée misérable. Pour résumer, la plupart des spectateurs voudraient voir de grosses pointures pour dix ou quinze francs, mais comme leur rêve est une fiction, ils préfèrent aller dépenser le triple dans des bars ou s’abrutir devant la télévision.

- Nyon est très connu dans le monde de la musique, le Paléo, le Caribana, penses-tu qu’à Nyon il y ait encore la place pour un festival comme le tien avec une affiche bien plus décalée que ce que les deux autres festivals proposent.

Oui, je pense qu’il y a encore de la place pour un festival plus alternatif. Notre affiche est variée, mais reste très alternative et nous avons également pour but de programmer de jeunes groupes régionaux en devenir.

- Vous restez fidèles à l’Usine À Gaz, vous n’avez jamais voulu essayer de faire ce festival ailleurs, un open air, par exemple ?

L’Usine À Gaz est une salle de qualité, facile d’accès et qui possède toute la structure nécessaire pour notre type d’événement. Mais lorsque nous lancerons l’événement en open air, nous devrons changer d’endroit, à moins d’inaugurer dans l’open air en salle (rires).

- Jusqu’où penses-tu amener le Nyon’s On Fire, comment le vois-tu dans cinq ans, par exemple ?

L’objectif à long terme est de transformer le Nyon’s On Fire en un festival open air. Mais nous allons commencer par ajouter une scène extérieure pour la quatrième édition en 2011. Cependant, il se peut que dans cinq ans nous soyons en plein air, du moins c’est notre vœu le plus cher.

www.myspace.com/heimathome

Indy

Interview réalisée par e-mail en août 2010

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mis en ligne le : 14.10.10 par graber

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