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CONCOURS TRANSIT
ELECTRON RAGE (Dookoom, Algorithm, Protohype, Aïsha Devi, L-Za)
L'Usine, Genève
25.03.2016
Pour plus d'infos : http://www.transitmag.ch/index.php?Article=6028
mis en ligne le : 16.05.10 par indy
VOID OV VOICES | Les Caves Du Manoir, Martigny
4 décembre 2010
Portes : 20h30 | Prix : TBA
Vocaliste halluciné et véritable mythe de la sphère black metal, Attila Csihar est un explorateur. Il l’a démontré en retrouvant un Mayhem au sommet de son art, sur ‘Ordo Ad Chao’, après avoir hanté de son chant le glacial ‘De Mysteriis Dom Sathanas’. Au-delà de cette carte de visite plus qu’honorable, le Hongrois se plaît à multiplier les apparitions au sein des formations les plus barrées. Des apparitions répétées du côté de Sunn O))) aux six années de bons et loyaux service au sein d’Aborym, en passant par des performances macabres avec Burial Chamber Trio… La liste est longue. À ce petit jeu-là, Void Ov Voices, projet solo de l’homme, va plus loin encore, narguant les limites du minimalisme et de la musicalité. À situer entre ambient et chants traditionnels Touva, ce projet à cent pour cent vocal s’articule autour du seul chant d’Attila, enregistré, copié, doublé, samplé, noyé sous des tonnes d’effets, jusqu’à obtenir un véritable mur sonique dont l’épaisseur n’a pas grand-chose à envier à nombre de formations drone. Vaste fumisterie pour les uns, messe noire malsaine et dérangeante pour les autres : ceux qui ont eu la chance d’assister aux deux concerts suisses d’Ulver, au printemps dernier, ont déjà pu se forger leur propre opinion. Pour les autres, les Caves Du Manoir organisent un cours de rattrapage le 4 décembre. [Dave]
www.cavesdumanoir.ch
mis en ligne le : 21.11.10 par indy
PAPA ROACH, LIFE OF AGONY, ILL NIÑO | Volkshaus, Zurich
09.08.2010
L’affiche de ce concert, avec les idoles des teenies Papa Roach, accompagnés de Life Of Agony et Ill Niño, semblait promettre une soirée sympa. Dommage que tout ne se soit pas bien passé. Les latino-metalleux d’Ill Niño montent sur scène dans une salle encore à moitié vide et malgré l'impact de leur musique, la plupart du public ne semble pas trop s'intéresser à eux. L'apathie et la participation assez pauvre du chanteur Christian n'aident pas à arranger les choses non plus. On espère avec Life Of Agony un show plus intense ! Rien de plus faux. Le groupe ne relève pas le niveau en se montrant peut rodé. Le micro de Keith ainsi que ses monitors ne marchent pas à plusieurs reprises, ce qui a le don de l’énerver au maximum, au point que le chanteur n'hésite pas à insulter les techniciens et un public presque ennuyé par leur exhibition. Résultat, un concert horrible arrêté plus tôt que prévu. Dommage, car ils avaient prévu de jouer l'album culte 'Rivers Runs Red' en entier ! Heureusement, Papa Roach montent sur scène pour sauver la soirée. Malgré un public de teenies et des morceaux très catchy, ils démontrent qu’ils sont un groupe très soudé et énergique qui sait sans nul doute possible comment offrir un bon spectacle. Jackoby est un entertainer de grande classe et il n'arrête pas une seconde de bouger et d’interagir avec le public. En plus, le son est vraiment à la hauteur et permet de bien apprécier le concert, même pour ceux qui, comme moi, ne sont pas vraiment des super fans des Californiens. Après nonante minutes très intenses, on arrive à la fin avec leur gros hit 'Last Resort'. [Andy Gaggioli]
mis en ligne le : 20.11.10 par indy
AMPHI FESTIVAL | Cologne, Allemagne
24-25.07.10
Premier caca à l’hôtel, découverte de Cologne, corsets enfilés, nous sommes parés pour la fête. Organisé par le magazine Orkus, ponte de l’electrodark à la teutone, l’Amphi Fest accueille depuis cinq ans les incontournables du boum boum plus ou moins sombre. Une fois pénétré le Tanzbrunnen, complexe regroupant une scène en plein air et une indoors, un espace Bratwurst et divers stands de merchandising, on peine à choisir : s’agit-il d’un festival gothique qui se déroule en Allemagne ou d’un festival allemand qui se trouve être gothique ? Car contrairement au WGT et à sa faune très internationale, l’Amphi fait dans le cent pour cent germanique. Au-delà des clichés (qui se confirment souvent), les faits ne trompent pas : les freaks (vampires, Morticia, cyber, punk et autres) parlent en grande majorité la langue de Goethe et en termes de nourriture, seul un estomac allemand peut s’y retrouver : Bratwurst, Kartoffelsalat, Kebab et un stand fruit déserté. On reconnaît aussi le festival teuton à son organisation minutieuse : jusque dans les marges les plus extrêmes, le germain reste carré, propre, poli et mesuré. Mais enfin, c’est bien la programmation qui confirme qu’on se situe au pays de l’Oktober Fest : les groupes sont majoritairement allemands, répartis sur le spectre allant de l’electro EBM au Rammstein-metal. À peine arrivés donc, nous débarquons sur les lieux du spectacle. Nous faisons connaissance avec les röstis-compote de pomme au son de Welle:Erdball, sympathique formation à l’esthétique kitsch aux forts relents new wave. 'Ich bin aus Plastik, ich bin kalt', crie une poupée synthétique. Plus tard dans la soirée, c’est Funker Vogt qui monte sur scène et qu’on se le dise, rien de bien méchant chez ces Allemands. Ils font du Scooter assombri, semblable au tubesque 'Logical Song', le blond platine en moins. Et dans le public, ce sont les mêmes body builders amateurs de tuning qui scandent les refrains. Pas le summum de la subversion, mais un bon moment de move your (german) ass. En tête d’affiche du premier jour, And One ponctue la soirée. On prend la même recette, de l’electro légère et dansante pas particulièrement sombre. Machine à tube un peu fatiguée, le groupe a délivré un show mou et minimaliste, façon j’appuie sur play et je laisse faire. On n’en demandait pas beaucoup mais quand même, on aurait aimé sentir plus de boum boum dans nos cages thoraciques. Dodo pour les unes, party jusqu’au bout de la nuit pour les autres.… Et oh surprise, on a même entendu du Scooter sur le dancefloor.
‘On dit pas c’est nul, on dit j’aime pas’. Une phrase souvent rabâchée par les fans qui, pas moins obtus que ceux qu’ils dénoncent, s’érigent en fiers défenseurs de la merde. Leave’s Eyes, c’est nul et j’aime pas, mais j’ai quand même essayé d’écouter. La voix ‘façon opéra’ de la chanteuse sonnait juste, la dégoulinade de notes bien en place. Monsieur le chanteur ‘responsable de la voix death’ ondulait correctement du cheveu, pour un ensemble visuel et musical efficace. Une performance réussie, dans un genre qui a dépassé toutes les limites acceptables du kitsch. Avec Combichrist, on passe au bourrinage en mode américain : electro-indus agressive et musclée. Le beat se durcit (exit Scooter), deux batteries renforcent les samples et on sent le projet pensé pour faire mal. Les kids munis de la panoplie du parfait cyber (tubes en plastiques fluos, masques sur le visage, lunettes d’aviateurs, pantalons amples et accessoires ‘industriels’) forment des cercles et entament des danses frénétiques. Pêchu et rentre-dedans, Combichrist incarne une tendance toujours plus appréciée : celle de la techno revue à la sauce sombre. Retour à l'intérieur pour Frontline Assembly, malgré un excellent set le son beaucoup trop fort gâche le show enragé de Bill Leeb et de sa petite équipe, dommage car le nouvel album est vraiment excellent, à revoir en headliner. Enfin c'est à VNV Nation qu’échoit l'honneur de clôturer la grande scène avec une prestation en demi-teinte malgré une set-list excellente. Ronan a l'air un peu fatigué (conséquences de son set dj de la veille ?) et peu en voix. On se réjouit de les retrouver au Volkshaus en septembre. Derniers moments du festival, la fête bat son plein dans la salle dancefloor. Et devinez-quoi ! Nos amis cyber, gotho-plastico-teenage, adeptes d’agro-hellektro-boum-boum-gggrrrrkkkzzzz, se déchaînent sur Trans-X. [Géraldine & PsiloSyn]
mis en ligne le : 20.11.10 par indy
NAPALM DEATH, IMMOLATION, MACABRE, WAKING THE CADAVER | Le KAB (Usine), Genève
19 novembre 2010
Portes : 19h30 | Prix : CHF 25.-
Ça, c’est de l’affiche. Certainement LA soirée metal de cette fin d’année à l’Usine. D’ailleurs, le concert de Napalm avant Noël, une pratique en voie de généralisation ? En 2009, le groupe grindo alterno avait déjà foulé le sol genevois dans une salle bondée : que cela serve d’avertissement, il faut venir à l’heure ! Quoi qu’il en soit, c’est cette fois en compagnie de pointures internationales que le groupe s’exhibe : Immolation, formation incontournable en matière de death old-school, lourd et sombre, défendra son dernier album ‘Majesty And Decay’, sorti cette année chez Nuclear Blast. Autre représentant de la ‘vieille école’, Macabre offrira son mélange de death, thrash, grind mâtiné de hardcore aux âmes les plus avides de sonorités extrêmes. C’est enfin Waking The Cadaver qui se chargera d’assurer la tendance actuelle, celle du deathcore. Formé en 2006, le groupe possède un album à son actif, ‘Perverse Recollections Of A Necromangler’ qui intègre des influences brutal death. [Géraldine]
www.usine.ch
mis en ligne le : 15.11.10 par indy
WITH FULL FORCE | Löbnitz, Allemagne
02-04.07.2010
Pour sa dix-septième édition, le With Full Force proposait une belle affiche avec plus d’une soixantaine de groupes dispersés sur deux scènes en trois jours. Soleil de plomb et chaleur insoutenable étaient de mise et, malheureusement, avec le retard du train et l’attente du bus, c’est seulement aux alentours de dix-huit heures que je pus pénétrer dans l’enceinte du festival. Juste à temps pour la prestation de Fear Factory. Froid et chirurgical, le groupe n’arrivait pas à motiver le public teuton qui s’était rassemblé en masse pour assister au grand retour de Dino. Par contre, les Allemands de Caliban envoyèrent la pâtée avec un show à la limite de la perfection. Privilégiant comme à leur habitude les titres des derniers albums, les musiciens semblaient en grande forme et le public fut étonné de voir quelques effets pyrotechniques dans la foulée. C’est à la tombée de la nuit que Sick Of It All transforma le pit en un vrai champ de bataille pour le plus grand bonheur des kids. Je fus par contre déçu par la prestation de Killswitch Engage qui ne dégageait pas grand-chose sur scène, malgré une setlist parfaite. Emmené par un Howard Jones très effacé et peu charismatique à l’inverse d’un Adam D complètement bourré qui profitait de chaque temps mort pour se vider une bière. Deuxième déception, le lendemain après-midi, avec Ektomorf et son set pitoyable probablement dû à un très mauvais son et la voix inexistante du chanteur / guitariste. Mais cette mauvaise surprise fut très vite oubliée suite à une claque joliment envoyée par Bleeding Through. Très pro et parfaitement exécuté, leur live laissa un public sans voix et pas seulement à cause de la jolie claviériste. La soirée débuta avec les locaux de Heaven Shall Burn qui étaient pour l’occasion armés d’un écran géant sur lequel étaient projetées des leçons de vie (guerre, pauvreté, crise économique…). Malgré un mauvais concert, ils furent les plus acclamés de ces trois jours et surtout les auteurs du plus grand circle pit du festival sur le hit ‘Endzeit’. La fin de soirée fut illuminée par la prestation de Gwar et leur pièce de théâtre grotesque et de mauvais goût. Un groupe qui mérite le détour rien que pour ses mises en scène et son spectacle lourd et hilarant. Le dimanche fut un peu plus concluant avec les bonnes prestations de Burning Skies et Evergreen Terrace en début d’après-midi. Je fus ensuite étonné de voir si peu de monde pour la bonne performance de Dark Tranquillity. Un set bien en place et un gros son étaient de mise, sans compter le chanteur charismatique qui semblait spécialement heureux d’être là. Dans tous les cas, ils m’ont convaincu d’aller les voir lors de leur passage en octobre à Lausanne. Vinrent ensuite les Américains de As I Lay Dying et leur metalcore commercial à souhait. Le groupe enchaîna tous ses hits avec une facilité et un dynamisme étonnant et ne laissa pas le public sur sa faim. Les musiciens étaient parfaits, tant au niveau musical que présence scénique, et le chanteur était particulièrement à l’aise et se promenait sur scène telle une pile électrique. Sans doute le meilleur concert de cette édition. [Randy]
mis en ligne le : 14.11.10 par indy
GARY MOORE, BILLY IDOL | Montreux
06.07.2010
Encore une fois, Montreux nous a charmés, l’organisation était parfaite. L’Auditorium Stravinski, spacieux, aéré, on n’a pas crevé de chaud, on n’a pas été bousculé… la classe, comme d’hab. Première surprise de la soirée : c’est Billy Idol qui ouvre pour Gary Moore. J'aurais pensé que c’était le contraire. Mais quel show, à cinquante-quatre ans, il pète la forme et n’a rien perdu du pep de ses vingt ans. Il nous a fait un vrai défilé de mode en changeant de tenue au moins cinq fois et, avec des abdos plaques de choc, il y avait de quoi se rincer l’œil. Il nous a fait tout son répertoire connu et même quelques titres de son premier groupe Generation X dont ‘Ready Steady Go’. Des titres tels que ‘White Wedding’, ‘Mony Mony’, ‘Dancing With Myself’ ou encore ‘Rebel Yell’ n’ont pas pris une ride, même si Billy en a pris quelques-unes, comme nous tous. Il est très bien entouré niveau musicos. Billy Morrison (Camp Freddy) et Steven Stevens (Michael Jackson, Vince Neil, Tim ‘Ripper’ Owens, Pink… ) nous donnent un show très axé guitare, même si le synthé est bien présent avec Derek Sherinian (Alice Cooper, Dream Theater) qui assure son rôle avec brio. Un instant, j’ai même regretté de ne pas être devant car Billy est allé à la rencontre du public. Si le set était parfait, il était malheureusement trop court. Après une petite pause, Gary Moore prend possession des lieux et nous délivre un set blues rock avec des titres comme ‘Walking By Myself’, ‘Over The Hills And Far Away’ et ‘Out In The Fields’. De bons moments. Gary et Neil Carter (UFO), qui est un musicien de talent, se partagent le chant. Mais ce que le public attendait avec impatience vint enfin : ‘Still Got The Blues’ et un majestueux ‘Parisienne Walk’ qui a duré plus de dix minutes. Un régal pour tout fan de blues rock et amateur de vrai guitariste. Et comme d’habitude, l’organisation de Montreux et ses navettes étaient impeccables, on est vite reparti au son du blues. On espère que l’affiche de l’année prochaine nous attirera encore une fois vers Montreux. [Suzy]
mis en ligne le : 14.11.10 par indy
EXODUS, BONDED BY BLOOD, HOLY GRAIL | Foufounes Électriques, Montréal, Canada
24.08.2010
S’il y a bien une place mythique dans le milieu des concerts à Montréal, c'est les Foufounes Électriques. Quelques-uns des plus grands noms de la scène musicale mondiale y ont joué dont Nirvana, The Young Gods ou encore Green Day. Ce soir, c'est au tour d'un des fondateurs du thrash : Exodus. Groupe qui à mon avis aurait dû, ainsi que Testament, faire partie de la tournée du Big 4 qui a sillonné l'Europe cet été, mais bon ! Exodus partage donc l'affiche ce soir avec Holly Grail et Bonded By Blood que j'ai d'ailleurs lamentablement ratés, car si on parle de la précision suisse, on peut dire la même chose de la québécoise. Le show a débuté à dix-neuf heures pile, et moi, j'étais encore sur la 20 (autoroute). Bon, pour moi, le principal était de voir Exodus que je n'avais encore jamais vu. Je n'ai pas été déçu, le groupe déploie une énergie incroyable et à voir le sourire qu'a Gary Holt, on devine le plaisir du groupe à se produire sur scène. Le concert, je devrais plutôt dire ‘la guerre’, débute avec ‘The Ballad Of Leonard And Charles’ suivi de ‘Beyond The Pale’ tiré du dernier album. Il n'y a pas une seconde de répit pour le public, le mosh pit est en feu. J'aurai droit à mon premier wall of death vu d'en haut. Près de deux heures de concert sans aucun temps mort, une chose est sûre, si Exodus repasse dans le coin, je ne les manquerai pas. [Séb.]
mis en ligne le : 14.11.10 par indy
CONVERGE, KYLESA, GAZA, KVELERTAK | L’Usine (KAB), Genève
03.08.2010
Converge qui passe à l’Usine, ça devient gentiment une tradition. Cette année, c’est en compagnie de Kylesa, Gaza et Kvelertak que les Américains sont venus dire bonjour au public suisse. En arrivant, j’ai de la peine à croire que cette longue file est bien réelle, car ce n’est pas habituel de voir une telle attente devant L’Usine un jour de semaine en plein été. Après plus d’une quarantaine de minutes, je peux enfin entrer dans l’antre, mais Kvelertak sont déjà sortis de scène. C’est donc avec la bande à Gaza que ma soirée débute. Des musiciens charismatiques, un chanteur très grand, de belles dissonances, une bonne prestation, mais malheureusement pas ma tasse de thé. Kylesa prennent le relai avec un set lourd et envoûtant complètement amplifié par la présence de leurs deux batteries. La salle semble scotchée par l’énergie musicale dégagée par notre orchestre aussi sombre que rock’n roll. Une très bonne surprise au final. La tension monte et on sent que les Converge vont débarquer sur scène, et ‘bam’, c’est parti avec le titre ‘Concubine’. Le public réagit vite et le pit ne se fait pas prier. La suite s’enchaîne à toute vitesse et les musiciens sautent dans tous les sens, mais on remarque les quelques faiblesses de voix du chanteur qui semble être fatigué par sa tournée. Ni trop court, ni trop long, le live se termine dans les règles de l’art, mais je demeure peu convaincu par la prestation de ce soir. Malgré la bonne setlist et le show bien exécuté, j’ai trouvé Converge moins énergique et hargneux que les autres fois, mais on ne peut pas toujours être parfait. En tout cas, on remercie le KAB de nous balancer de telles affiches et on se réjouit de la prochaine. [Randy]
mis en ligne le : 14.11.10 par indy
La tournée européenne 'Where death Is Most Alive Part II' achevée, Dark Tranquillity offrent un souvenir à leurs fans présents ou un cadeau à ceux qui n'ont pu y assister.
Sous une pluie d'étoiles, 'Misery's Crown', en live à Trädgarn, Gothenburg :
mis en ligne le : 11.11.10 par Naryelle
Les Finlandais annoncent la sortie de leur futur album 'Stand Up And Fight' pour le 31 janvier 2011 !
Leur 'Moral & Wahnsinn Tour 2011' (avec Die Apokalyptischen Reiter' passera le 10 avril 2011 au Z7 de Pratteln !
mis en ligne le : 11.11.10 par Naryelle
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