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CONCOURS TRANSIT
ELECTRON RAGE (Dookoom, Algorithm, Protohype, Aïsha Devi, L-Za)
L'Usine, Genève
25.03.2016
Pour plus d'infos : http://www.transitmag.ch/index.php?Article=6028
mis en ligne le : 16.05.10 par indy
GUITARE EN SCÈNE | St-Julien-en-Genevois, France
Finale des tremplins : 26 juillet 2012 / Entrée gratuite / Portes : 19h
Festival 27, 28, 29 juillet 2012 / Portes : 18h
Prix : de CHF 66.- à CHF 185.-
Superbe festival très sympa aux portes de Genève, évènement annuel faisant honneur à la guitare, avec pour parrain de cette édition Wayne Kramer du groupe MC5. Et pas d’excuse valable pour ne pas y aller car le bus quatre s’arrête juste à côté ! Et des places de parking, il y en a toujours de disponibles, avec un grand maximum de cinq mille âmes présentes on n'est pas bousculés. Le festival compte trois scènes : le Chapiteau, Unplugged et Village et je vous conseille de vous rendre régulièrement sur Internet afin de suivre l'évolution de la programmation, encore en cours. Jeudi soir vous pourrez déjà aller soutenir les artistes de demain, car les finalistes des tremplins se disputeront les faveurs du public. Vendredi verra le retour tant attendu de Gotthard dans la région genevoise, on se réjouit et on se demande quels titres ils vont bien pouvoir nous jouer et, surtout, comment cela va se passer avec le nouveau chanteur ! Une seule façon de le savoir : rendez-vous sur place et faites ce constat par vous-même. Le même soir, le blues rock de Beth Hart est à l'affiche, et sur la scène Unplugged, Keb’Mo et Eric Sardinas & Big Motor assureront le show. Samedi soir marquera l’évènement avec la présence des G3, Steve Vai, Joe Satriani et Steve Morse. Si vous voulez savoir ce que ça donne des virtuoses de la gratte, eh bien cette soirée est pour vous ! Sur la scène Village vous pourrez revoir les gagnants des tremplins 2011, notamment les frangins Taro & Jiro qui nous montreront s'ils ont toujours autant la pêche. Sur la scène Unplugged, vous pourrez admirer la très talentueuse Flavia Coehlo. Dimanche, pour tous ceux qui n’iront pas les voir aux arènes d'Avenches, c'est une grande soirée blues rock qui s'annonce avec ZZ Top en tête d’affiche et, avant-première sur la scène Chapiteau, Seasick Steve. Sur la scène Village, du rockabilly avec Mark Harman & Hot Rod Rhythm Boys ; et à ne pas rater sur la scène Unplugged : Robert Gordon & Chris Spedding. [Suzy]
www.guitare-en-scene.com
mis en ligne le : 10.07.12 par indy
ROCK OZ’ARÈNES | Avenches, Fribourg
Du 31 juillet au 5 août 2012
Prix : de CHF 60.- à CHF 320.-
Le festival Rock Oz’Arènes a fêté ses vingt ans l’année dernière avec une affiche impressionnante. Cette année, il fallait pouvoir faire honneur à l'édition passée et, bien que la tête d’affiche du 2 août soit encore inconnue, ce festival s’annonce encore une fois bien orienté rock ! Mardi, soirée blues rock en perspective avec les barbus les plus connus de la planète, tout frais sortis de leur Texas et une moyenne d’âge de soixante-deux ans qui n'entache en rien leur dynamisme. Même si le 2 août reste encore à confirmer, avec une telle tête d'affiche, on fait confiance aux organisateurs pour continuer de nous épater ! Le vendredi 3 août signe le grand retour de Gotthard sur le devant de la scène romande et première tournée depuis l’arrivée de leur nouveau chanteur, Nic, faites-lui donc bon accueil. Il y a des connexions australo-suisses par là et vous savez que c’est important pour Transit. Dans la catégorie tête d'affiche, n'oublions pas Mr. Cooper et ses exécutions live qui, du haut de ses soixante-quatre ans, affiche toujours une endurance phénoménale ; et son show, rempli d'actions musicales et théâtrales, de sang, des confettis, de morts, de hard rock, de soli de guitare, rien que ça ! On croise les doigts pour que la guitariste australienne Orianthi soit encore de la partie à ses côtés en août. Samedi soir, quant à lui, s’annonce plus party rock que hard rock. Mais je pense que le show des LMFAO méritera le déplacement, étant un groupe qui fait particulièrement parler de lui par ses frasques offstage, et qui n'a rien à envier à nos rockers extrêmes de ce point de vue. Dimanche soir, ce n'est pas exactement le style de Transit, mais si vous aimez les chanteurs francophones, c’est pour vous. Et puis les arènes d'Avenches c’est sympa, il faut juste préparer vos mollets à l’avance car monter et descendre perpétuellement les marches se complique avec les heures avançant, surtout après quelques boissons rafraîchissantes. Pour connaître la programmation définitive, les heures de passage et les différentes conditions, allez faire un petit tour régulièrement sur le site internet, et profitez des abonnements tant qu'il y en a encore car ils sont financièrement très intéressants. Et, pour les douillets, n'oubliez pas que des prestations VIP avec accueil, parking, places dans les gradins et apéro, sont disponibles. Vous êtes prévenus, à vous de jouer. [Suzy]
2012.rockozarenes.com/fr
mis en ligne le : 10.07.12 par indy
PALÉO FESTIVAL NYON | Plaine de l’Asse, Nyon
Du 17 au 22 juillet 2012
True metalleux et autres thrashers, passez votre chemin car, comme chaque année, le Paléo Festival s'affuble d'une affiche résolument pop. Mais, si vous êtes plutôt ouverts, musicalement parlant, et que cela vous arrive de prendre du plaisir à écouter Couleur3, je vous conseille de jeter un oeil, ou plutôt une oreille, à l'affiche de cette trente-septième édition. Le premier soir sera animé par Manu Chao (eh oui il est bien en vie), Franz Ferdinand ou encore M83, qui graviront la grande scène. Pour les fans de rock / garage, je vous conseille de prendre le temps d'aller découvrir les Suisses de 7 Dollar Taxi et de The Sound Of Fridge. Le lendemain, ce seront les légendaires The Cure qui seront à l'honneur aux côtés de Justice, Dionysos (encore ?) et Bon Iver. Mais si vous trouvez que tous ces artistes sont trop commerciaux, filez du côté de la scène du Detour pour voir les Suisses de The Deadline Experience qui évoluent dans un rock bien vitaminé. Les fans de reggae ne seront pas en reste, puisqu'ils pourront se défouler (en fumant) sur Groundation, Raggasonic ou encore sur les déjantés de A State Of Mind. Les autres, vous trouverez peut-être votre compte auprès de Sting et Stephan Eicher, mais j'en doute. Par contre la journée / soirée de vendredi devrait en ravir plus d'un avec, notamment, la présence de Rodrigo Y Gabriela. Lenny Kravitz sera également de la partie, à noter que son précédent passage à Paléo fait partie des meilleures prestations scéniques que j'ai pu voir jusqu'à ce jour. L'electro de C2C et le rap d'Orelsan seront également à l'affiche de ce quatrième jour de festival. Le samedi c'est le rock qui prendra d'assaut la plaine de l'Asse, sous les notes des Kills, des Kooks ou encore de Garbage. Les plus tranquilles d'entre vous seront également heureux de (re)voir Bénabar et Thomas Dutronc à Paléo. Côté découverte, les deux bons groupes suisses Honey For Petzi et Widdershins mériteront le détour (dans tous les sens du terme). Cette année, ce sera David Guetta qui aura la tâche de clôturer le festival, le dimanche. Mais il sera assisté par Roger Hodgson, Anna Aaron et l'humoriste Kev Adams. Si vous êtes du genre aventurier, que vous aimez découvrir des groupes (et de la nourriture) et / ou que vous êtes un fêtard de compétition, alors faites un petit tour du côté de ce mythique festival. [Randy]
www.paleo.ch
mis en ligne le : 10.07.12 par indy
METALCAMP | Tolmin, Slovénie
Du 5 au 10 août 2012
Prix : 129 euros (pass semaine) / 99 euros (pass pour les trois jours)
Pour ceux qui n’auraient pas lu ma review dithyrambique, présente dans le Transit 56, voici une petite piqûre de rappel. En effet, comme je le disais dans l’article, le Metalcamp 2011 a été l’un des festivals où j’ai le plus pris mon pied en plus de quinze ans. Loin des foules innombrables des Wacken et autres Hellfest (le MC est limité à douze mille personnes), dans un cadre enchanteur, au bord des eaux turquoise de la Tolmin River, ce festival slovène a le goût et l’odeur des vacances à la plage. Si l’on excepte, bien sûr, le fait que c’est douze mille metalleux déchaînés qui remplacent les habituels beaufs du sud de l’Europe. Seulement deux scènes (une grande pour les internationaux et une petite pour les découvertes) et des concerts qui commencent en fin d’après-midi, ce qui permet non seulement aux soiffards de la veille de cuver leurs litrons à la plage, mais également aux groupes de faire des soundchecks convenables, contrairement à la plupart des festivals. L’affiche 2012 n’est pas en reste avec des grosses pointures comme Korn, Machine Head, Amon Amarth, Edguy, Sabaton, Epica. Une bonne place est laissée aux amateurs de folk metal avec Eluveitie, Finntroll, Korpiklaani, Trollfest, Heidevolk. Mais on peut encore citer Septic Flesh, Paradise Lost, Pain, Nile, At The Gates, Testament, Hatebreed, Dark Funeral, Sodom, Madball, Kataklysm et la reformation de Sanctuary, ancien groupe de Warell Dane (Nevermore). Bref, une kyrielle de groupes, un cadre enchanteur, la possibilité de faire de belles balades, des stripteaseuses ultra-sexy, des bières à un euro et surtout un ticket hebdomadaire à un prix défiant toute concurrence (quasi le même que pour cette merde de Sonisphère). Si vous hésitez encore, c’est que vous n’avez rien compris. [PsiloSyn]
www.metalcamp.com/
mis en ligne le : 10.07.12 par indy
EKTOMORF | The Acoustic
AFM Records
Peu nombreux sont les groupes de metal extrême à avoir tenté une adaptation acoustique de leur musique et encore moins nombreux sont ceux qui y sont parvenus avec panache. Nous avons encore tous en mémoire l’incroyable adaptation de nos – hélas disparus – héros locaux Nostromo et de leur ‘Hysteron/Proteron’. Ektomorf n’en démérite à aucun moment sur ces adaptations de cinq de leurs titres, de cinq nouveaux titres et de deux reprises pour l’occasion. On sent bien l’envie du groupe de présenter l’une de ses sources d'inspiration cultes et l’un de ses artistes préférés. Le morceau d’ouverture, nommé ‘I Know Them’, est une excellente adaptation et l'on dirait presque que le morceau avait été pensé pour être un jour joué dans cette version ; et brillamment suivi de ‘I’m In Hate’, adaptation très réussie et de ‘Be Free’, nouveau titre, composé pour l’occasion. ‘Redemption’ est une adaptation réussie, bien que le refrain devienne vite répétitif en version acoustique. ‘Simple Man’ – première cover de l’album – est une reprise de Lynyrd Skynyrd, pourquoi pas ! ‘To Smoulder’ est un des nouveaux titres, qui pourrait devenir un classique dans le futur. ‘Folsom Prison Blues’ est un titre que l’on ne présente plus, morceau ultra-connu et ultra-repris du ‘Man In Black’ j'ai nommé, Johnny Cash, et au passage une véritable réussite ! Suivent deux nouveaux titres sympas, surtout le second : ‘Again’ et ‘Through Your Eyes’ ; puis ‘Fate’, dernier morceau composé spécialement pour l’évènement et qui est, à mon sens, le plus intéressant de l’album. Suivent ‘Stigmatized’, que l’on ne présente plus et ‘Who Can I Trust’, adapté avec classe et perfectionnisme ! Un album réussi donc, par un groupe qui a toujours privilégié la qualité à la quantité. [Lambiamorphe]
www.ektomorf.com
mis en ligne le : 09.07.12 par levlic
DO OR DIE | The Downfall Of The Human Race
Run Amok Entertainment
En treize années d'activité, les Belges de Do Or Die se sont imposés comme une valeur sûre de la scène metal / hardcore européenne. Les cinq albums studio et leurs multiples apparitions sur les scènes des plus grands festivals de metal en sont la preuve indéniable. Ce cinquième album est résolument plus hardcore que ses prédécesseurs et la voix du nouveau second chanteur n'y est pas pour rien. Moins hargneuse et brutale, cette nouvelle voix se confond facilement avec celle de Chris, chanteur principal et fondateur du groupe, et du coup la musique perd un peu en agressivité, mais gagne un esprit hardcore. La puissance et l'efficacité des compositions demeurent le point fort du groupe et on s'en prend plein la gueule tout au long de ce ‘The Downfall Of The Human Race’. Cependant les mélodies ne sont pas en reste et certaines parties prouvent que Do Or Die n'a pas totalement renié ses origines plus metalliques. Vous l'aurez donc compris, amateurs de brutalité et d'énergie, cet album est pour vous. À noter que le groupe sera en concert à l'Usine de Genève le samedi 7 juillet, tenez-vous prêts. [Randy]
www.myspace.com/officialdoordie
mis en ligne le : 09.07.12 par levlic
DEVIL’S TRAIN | Devil’s Train
Ear Music / Edel
Du pur hard rock old school, je pense que c’est ce qui résume au mieux ce groupe. Les influences sont nombreuses, Deep Purple, Nazareth, Bon Jovi (si, si) Jethro Tull et tout ce qui a fait que le hard rock est devenu ce qu’il est. Pour un premier CD, ce qui saute à la gueule de suite, c’est que les riffs sont bétons, la production hallucinante ! Je décide donc d’approfondir mes recherches et découvre que les membres du groupe ont déjà du bagage dans le domaine du metal en général. Jari Kainnulainen (Evergrey, Stratovarius…) à la basse par exemple ou Liapakis (Mystic Prophecy…) au chant. Voilà donc pour l’explication concernant la musique du groupe, pour ce qui est de la production, ils ont bossé avec un certain Fredrik Nordström (At The Gates, Arch Enemy…) ! Ben voilà, maintenant je sais pourquoi ce disque est aussi réussi. Amateurs de hard, ce disque va vous faire jouir de plaisir, tous les ingrédients sont réunis, les ballades mielleuses, les morceaux typiquement hard avec gros riffs et solos endiablés, un son parfaitement adapté et un sérieux inébranlable dans les textes… Une réussite totale. ‘Roll The Dice’, ‘Sweet Devil’s Kiss’, ‘Coming Home’, tout ça n’est qu’une infime partie du contenu de cette merveille. Onze titres originaux et une reprise : ‘American Woman’, pour vous rappeler pourquoi vous aimez le hard. [Lambihard]
www.devilstrain.com
mis en ligne le : 09.07.12 par levlic
CORROSION OF CONFORMITY | Corrosion Of Conformity (2012)
Southern Lord Records
Groupe culte fondé en 1982 par trois ados fans de heavy et de punk, devenu culte avec les années et des sorties d’albums mythiques. La formation a navigué entre les changements de line-up, la drogue et l’alcool, les périodes fastes, les périodes sombres, sans jamais décevoir leurs fans et ils ont présenté des lives de qualité, dont certains furent mémorables… Le groupe revient après un long moment d’absence dans nos chaînes hi-fi. À nouveau en trio depuis le départ de Peeper Keenan, occupé avec Down. Le groupe se retrouve donc à trois, ce qui n’était pas arrivé depuis le milieu des années quatre-vingt, 1985 pour être précis. Le groupe se retrouve cinq ans après une période d’inactivité pour pondre ce nouvel album. Peu de choses ont changé, je vous rassure de suite, toujours ce savant mélange de heavy et de rock, punk par moments, mais un album qui tend au groove du heavy / rock plus qu’autre chose, en témoignent les deux premières pistes de cette rondelle qui ‘corrosionne’ la tienne ! La piste trois nous saute à la gueule avec son agressivité toute punk. Un titre instrumental et lourdingue plus tard, on se retrouve avec ‘Your Tomorrow’, premier single de ce nouvel opus, du pur C.O.C., metal / punk. Pourtant plus le temps d’écoute défile et plus les écoutes se succèdent, plus le vide Keenan se fait sentir. La rondelle contient onze titres qui refont le tour de ce qu’est et a toujours été le groupe au travers des décennies, un album pour les fans du groupe, qui amènera peut-être de nouveaux fans, car il s’agit d’un album intelligemment construit. [Lambiconformity]
www.coc.com
mis en ligne le : 09.07.12 par levlic
COMITY | The Journey Is Over
Throatruiner
Difficile chronique que le dernier Comity, je m'excuse d'avance auprès du trio parisien car pris par le temps je n'ai pu accéder à toutes les subtilités de l'effort. Quatre parties et un ensemble tellement dense, tellement abrupt ! Leur force scénique n'est plus à prouver mais n'est rien quant à la puissance de l'écriture de cet album. Les atmosphères sont oppressantes au possible et font ressortir le côté torturé du chant, soutenu par les cassures rythmiques systématiques. L'auditeur est maltraité en permanence, secoué d'un bord à l'autre. La part I est rude à souhait, débutant par un larsen qui prend au corps et lance la machine aux rythmes asymétriques et riffs postcore. Tout change d'une minute à l'autre, les idées fusent tout au long des morceaux oscillant entre huit et vingt minutes. La part II est la plus violente de l'album, la haine dans le chant est palpable, un brûlot au sens premier du terme car on sent que l'explosion est imminente. Ici petite pause, car tenter de comprendre les plans et déceler les petites subtilités est un sacré travail d'orfèvre et il faut s'y reprendre à maintes fois pour analyser cette galette ! La part III débouche sur un nouvel éclairage, un Comity aux accents teintés de couleurs orientales et électroniques, qui laissent ensuite place à la rage que l'on connaît bien, le tout en neuf minutes abruptes. Enfin, la part IV est un condensé de ce qu'ils font le mieux, c'est-à-dire qu'en une vingtaine de minutes, ils étalent une technicité sans pareille, au service de l'émotion. Des accélérations qui prennent le contre-pied, des breaks fous, un riff bancal suivi d'un passage mélo, bref, le tout reflète en quelque sorte les aléas de l'âme, et ce dans ses aspects les plus sombres. En conclusion, cet album est un vrai bijou qu'il faut tenter d'interpréter chacun à sa manière, en tout cas pas de doute, Comity frappe un grand coup. Un seul mot : bravo ! [zakFuric]
www.facebook.com/pages/Comity/351656149310
mis en ligne le : 09.07.12 par levlic
CALIBAN | I Am Nemesis
Century Media
Ce nouvel opus des Allemands de Caliban est une machine Caterpillar. Imposante et efficace. Ça cogne dès le départ avec un morceau accrocheur et un refrain ‘You gotta be fucking hiddin’ me ?’ qui annonce de suite la couleur… Caliban nous propose un metalcore farci de bonnes rythmiques, des blasts puissants mais surtout une énergie et une originalité toute particulière avec parfois des passages plus clairs mais non envahissants. On a l’impression qu’ils tentent de se réinventer contrairement à ce qui avait été dénoncé récemment dans les médias. ‘I Am Nemesis’ est très bien travaillé et le hasard n’a pas sa place. Ce nouvel enregistrement nous parle d’injustice et du mal-être qui règne sur le monde actuel. Il fait également la part belle aux guests (Marcel Neumann, Mitch Lucher et Marcus Bischoff entre autres…). En résumé, Caliban nous témoigne ici d’une agressivité particulière mélangée à une douceur bien évasive. Tout amateur d’In Flames, Soilwork ou Meshuggah y trouvera largement son compte. [Effext]
www.calibanmetal.com
mis en ligne le : 02.07.12 par levlic
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