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CONCOURS TRANSIT
ELECTRON RAGE (Dookoom, Algorithm, Protohype, Aïsha Devi, L-Za)
L'Usine, Genève
25.03.2016
Pour plus d'infos : http://www.transitmag.ch/index.php?Article=6028
mis en ligne le : 16.05.10 par indy
HELMET | Usine, PTR, Genève
14.10.2014
Une décennie, c’est quasiment ce qu’il aura fallu attendre pour avoir la chance de voir à nouveau les Ricains d’Helmet à l’Usine. Une attente qui aura valu la peine. Non seulement le groupe revient, mais en plus pour fêter avec nous l’anniversaire de son meilleur album, sobrement appelé ‘Betty’. Pourtant ce n’est pas sous la forme d’une belle blonde, telle celle qui orne la couverture dudit album, qu’ils arrivent sur scène, mais bien comme un seul homme, fin prêts à déverser leurs riffs imparables devant un public impatient. Dès les premiers titres, on comprend pourquoi le groupe avait créé un tel buzz à l’époque de la sortie de cette galette. Que du bon, ça ronronne, ça envoie de partout et la voix est presque identique à l’album ! Le seul hic viendra de la prestation statique du frontman et fondateur du groupe, Page Hamilton. Le second set sera aussi de toute bonne facture. La formation de metal alternatif n’a rien perdu de sa superbe. Un concert efficace et qui nous rappelle que les bonnes formations vieillissent bien.
[Helmetbiel]
mis en ligne le : 06.05.15 par Mikamika
AT THE GATES, TRIPTYKON | Kiff, Aarau
16.12.2014
Étrange affiche que celle de cette tournée d’At The Gates. On y navigue entre le black metal de Morbus Chron, le doom ultra-pesant de Triptykon et le death mélodique des Suédois. Les dénominateurs communs seront toutefois qualité et brièveté. Une quarantaine de minutes pour se plonger dans un set des Suisses de Triptykon, c’est court. Quand bien même Tom G. Warrior démarre sur l’inévitable ‘Procreation Of The Wicked’ de Celtic Frost. Les emprunts à ce groupe sont nombreux (‘Circle Of The Tyrant’ et ‘The Usurper’) et, malgré une prestation carrée et noire et un son lourd à l’extrême (ce ‘The Prolonging’ et ses vingt minutes angoissantes ont un goût de fin du monde), les trop rares titres de Triptykon joués ce soir nous laissent un peu sur notre faim. À revoir en tête d’affiche. At The Gates se fendront, eux, d’un set d’une heure trente. Qui passe à une vitesse phénoménale, à tel point qu’on en redemande volontiers. Affirmer que les pères du ‘Gothenburg death metal’ effectuent un retour en grâce avec ‘At War With Reality’ tient de l’euphémisme. ‘Death And The Labyrinth’, ‘At War With Reality’, ‘Heroes And Tombs’ ou encore ‘City Of Mirrors’ viennent le rappeler sur la scène du Kiff. L’interprétation est magistrale, le son clair au possible, la prestation efficace : on a l’impression d’entendre le CD tant le groupe maîtrise son sujet. Les nombreux retours aux jours d’avant le split du groupe déclenchent systématiquement circle pits et autres headbangings furieux. En une quinzaine d’années, ‘Terminal Spirit Disease’ et ‘Suicide Nation’ n’ont pas pris une ride, à l’instar des brutaux emprunts aux premiers efforts du groupe, ‘Windows’ ou ‘Raped By The Light Of Christ’. Une heure trente, c’est long. Sauf quand At The Gates est sur scène.
[Dave]
mis en ligne le : 06.05.15 par Mikamika
SAMAEL plays CEREMONY OF THE OPPOSITES, MONKEY 3 | L’Usine, Genève
Le 23 mai 2015
Portes : 21h | Prix : CHF 28.00 / CHF 30.00
Sorti en 1994, ‘Ceremony Of The Opposite’ marque un premier tournant dans la carrière des Valaisans de Samael. Du black metal des débuts le groupe se dirige vers un dark metal plus lent et lourd avec l’introduction de samples et claviers, prémices des albums à venir. Mais en ce 23 mai de l’an de grâce 2015, c’est bien le fameux ‘Ceremony’ qui sera joué dans son intégralité. On retrouvera donc les hits de l’album que sont ‘Black Trip’, ‘Baphomet’s Throne’, ‘Son Of Earth’ mais aussi des morceaux rares tels que ‘Mask Of The Red Death’, ‘Crown’, ‘To Our Martyrs’ et bien sûr le climax de l’album avec la chanson éponyme. Un petit best-of des autres disques se chargera de terminer le concert qui risque d’être mémorable ! On signalera également que ce show sera le premier pour Drop (ex-Rain, Sybreed) en terre romande qui vient d’être intégré au line-up à la basse en remplacement de Mas. En ouverture c’est le stoner progressif des Lausannois de Monkey 3 qui sera mis à l’honneur. Un chouette samedi soir en perspective !
[PsiloSyn]
http://www.ptrnet.ch
mis en ligne le : 02.05.15 par Mikamika
HALESTORM, NOTHING MORE, WILSON | Kofmehl, Solothurn
30.03.2015
Pour un lundi soir il y avait du monde au Kofmehl, malgré un temps maussade et un ciel gris virant sur le noir. Et on apprécie la précision suisse allemande, portes ouvertes à temps, et les groupes jouent comme indiqué sur l’affiche. Wilson, les party animals originaires de Detroit ont commencé leur set à tambour battant, et en trente minutes nous ont balancé tous leurs hits, ‘Snake Eyes’, ‘If You Ever Leave Me’ et ‘College Gangbang’. Ils ont secoué les premiers rangs et les ont réveillés. Groupe découvert sur le Motörboat l’année passée, ce fut un plaisir de les revoir, du sang nouveau sur la scène, il en faut. En deuxième position le groupe Nothing More, à la mode Doors sous adrénaline, pieds nus sur un tapis, et chanteur torse nu et musclé, ils ont fait leur show, les titres que j’ai reconnus sont ‘Christ Copyright’, ‘Jenny’ et pour finir ‘Salem (Burn The Witch)’, un bon set. Enfin le clou de la soirée, celle que toutes les filles et les gars attendais, Mlle Lizzy Hale, eh bien ça fait plaisir de voir que les jeunes filles d’aujourd’hui ont leur idole rock’n roll à suivre. À mon époque c’était The Runaways, Girlschool ou encore Wendy O’Williams, et maintenant on sait que la relève est assurée avec Halestorm. Elle assure grave la meuf, cheveux tirés en arrière dans un petit chignon, ça démarre avec une intro vocale de ‘She Won’t Mind’ puis c’est avec sa Gibson Explorer qu’elle va mener le bal. Ils n’ont pas arrêté de répéter que leur prochain album sort très bientôt, on a pu en écouter plusieurs nouveaux titres dont ‘Apocalyptic’ ou encore ‘Amen’, et bien sûr ils ont joué les hits, ‘Daughters Of D’, ‘Misersy’ et ‘Love Bites’. Dommage que vers la fin la fatigue vocale commençait à se ressentir, elle est bien agressive sur scène avec l’attitude qui va avec, mais toujours avec le sourire. Elle aime ce qu’elle fait, ça se voit. On leur souhaite une longue vie, parce que Girls Rock Too !
[Suzy]
mis en ligne le : 02.05.15 par Mikamika
ENSIFERUM, INSOMNIUM, OMNIUM GATHERUM | Les Docks, Lausanne
19.03.2015
Arrivée aux Docks en avance afin de ne pas rater le début de cette soirée du 19 mars qui s'annonce plutôt relevée avec au programme : Omnium Gatherum, Insomnium et Ensiferum dans le cadre de ce One Man Army Tour. Les six Finlandais de Omnium Gatherum commencent à l'heure, ponctualité helvétique oblige, avec un son propre et une bonne énergie, ils nous abreuveront de leurs meilleurs titres pendant une quarantaine de minutes. Vient ensuite le quatuor Insomnium dans lequel nous retrouvons également le lead gratteux du groupe précédent, à savoir Markus Vanhala. La formation est présente pour assurer la promo de son dernier-né, ‘Shadows Of The Dying Sun’. Ce sera dans un son presque entièrement noyé dans les samples et la double-pédale que la bande à Niilo Sevänen balancera devant une foule endiablée son death metal mélodique puissant et dynamique. Vingt-deux heures et arrive la tête d'affiche tant attendue puisqu'il s'agit du combo Ensiferum. Emmi Silvennoinen aux claviers est remplacée par la jeune Netta Skog, une accordéoniste de toute beauté qui se permettra même un solo au milieu du concert, ce qui ne manquera pas d'aguicher la foule masculine sans doute plus attirée par ses charmes que par la qualité de sa prestation. Les titres des albums ensiferumiens ne manquent pas sur la set-list avec ‘Into Battle’, ‘Ahti’, ‘Victory Songs’, ‘From Afar’, ‘Iron’, etc. La bonne humeur règne autant sur scène que dans le pit, et nos cinq guerriers nordiques déconnent tellement qu'ils s'offriront un petit ‘Breaking The Law’ avec Janne (initialement derrière les fûts) à la guitare, Petri à la basse, Markus à la batterie et Samy à l'accordéon. La sublime Netta tiendra le rôle de frontwoman en interprétant les paroles de Rob Halford. Un moment inattendu et pour le moins surprenant mais très amusant ! Bref, une excellente soirée placée sous le signe du viking death metal mélodique avec trois groupes qui continueront à faire parler d'eux.
[Sam]
mis en ligne le : 02.05.15 par Mikamika
EARTHLESS, SPACE FISTERS | Usine, PTR, Genève
05.11.2014
Space Fisters… Tu parles d’un nom ! Un groupe qui a de bonnes idées de riffs par moments, mais qui peine à vraiment y mettre cohérence et efficacité. Ils n’auront pas fisté l’Usine plus que ça. Un set de plus de quarante minutes pour la première partie, ce fut un peu long. Earthless monte sur scène discrètement et envoie ‘Sonic Prayer’ et ‘Violence Of The Red Sea’ d’entrée !!! Ce qui nous met déjà à la moitié du concert, car le groupe compose des morceaux compris entre quinze et vingt minutes ultra évolutifs et efficaces en permanence. Leur force réside dans la facilité désarmante à mêler énergie et hystérie du punk, via leur batteur Mario Rubalcaba (Rocket From The Crypt, Hot Snakes…), qui délivre également un groove de titan, appuyé par Mike Eginton, le bassiste et fondateur du trio de San Diego. Que dire du guitariste, Isahia Mitchell (Nebula…), qui est en solo frénétique du début à la fin des titres ? Le tout maîtrisé jusqu’au bout ! L’image que m’a inspirée ce groupe est celle d’un chat de deux tonnes qui ronronne. L’Usine a retrouvé toutes ces lettres de noblesse et ce concert ne fera que le confirmer !
[Anaïslessbiel]
mis en ligne le : 02.05.15 par Mikamika
BLACK LABEL SOCIETY, BLACK TUSK, CROBOT | Z7, Pratteln & Les Docks, Lausanne
14 et 15.03.2015
Zakk Wylde de retour en Suisse pour deux dates, allez hop, c’est parti pour un week-end où le riff va être roi et la gueule de bois reine. Arrivé au Z7, mauvaise nouvelle, les photographes sont interdits, apparemment Mr Zakk est venu avec son photographe et celui-ci ne veut pas être dérangé. Peu importe, direction les premiers rangs tout de même pour constater que Zakk n’a jamais été aussi en forme et surtout qu’il a pris dans ses bagages un excellent ingénieur du son, mais quel bonheur ! Jamais concert au Z7 n’a été aussi puissant surtout avec la setlist que le Zakk nous réserve. Un très long solo va casser un peu l’ambiance, mais bon, même là on peut dire qu’on en a eu pour notre argent tant Zakk et sa bande sont en phase avec leurs fans. Le lendemain, on prend les mêmes et on recommence, sauf que la taille du Z7 et celle des Docks, c’est un peu comparer David et Goliath. Setlist sans changement, un solo un poil plus court, mais quelle présence et quelle intensité. Je n’ai pas encore parlé des groupes de première partie. Ils sont l’exemple parfait qu’il ne faut pas se fier à un concert pour se faire une idée d’un groupe. Crobot qui évoluent dans un registre assez groovy, un rock à la Black Crow boosté, ont été géniaux à Lausanne mais un son bien trop quelconque lors de leur prestation au Z7. Black Tusk et leur stoner hardcore, c’est exactement le contraire, parfait au Z7, mais bien trop agressif à Lausanne. Bref, week-end bien rempli, j’en ai encore des riffs plein les oreilles.
[Indy]
mis en ligne le : 02.05.15 par Mikamika
MACHINE HEAD | Fri-Son, Fribourg
Le 6 octobre 2015
Portes : 19h00 | Prix : 45.-/49.-
Machine Head, le mythique quatuor américain débarquera dans la très belle salle du Fri-Son le mardi 6 octobre 2015 pour nous (re)présenter son dernier-né toujours d'actualité : 'Bloodstone & Diamonds'. Moins d'une année après leur passage remarqué aux Docks de Lausanne, la bande au charismatique Robb Flynn revient en Suisse Romande avec son metal inimitable. Fondé en 1991 le quartet californien écume depuis les salles et festivals du monde entier. Impossible de passer à côté du fantastique 'The Blackening' sorti en 2006 et sixième galette du combo. Depuis, Machine Head peut être considéré comme l'un des groupes phare du metal actuel avec plus de 3 millions d'albums vendus à travers le monde. Leur musique mélange habilement thrash, groove et heavy avec une voix tantôt hurlée, tantôt chantée par Robb Flynn, principal compositeur du groupe. Leur dernier album en date, sorti en novembre 2014 est le premier à sortir sous le label Nuclear Blast contrairement aux précédents parus chez Roadrunner. Les voir sur la scène du Fri-Son à Fribourg sera un vrai régal pour les yeux et les oreilles, car Machine Head place toujours haut la barre en matière de show live.
[Sam]
mis en ligne le : 02.05.15 par Mikamika
THE ERKONAUTS | L’Usine, Urgence Disk, Genève
22.12.2014
Nous voilà frais un lundi soir, à peine arrivés dans le magasin Urgence Disk de la place des Volontaires, tenu par un Baron légendaire avide de concerts underground comme nous les aimons tous. Cet endroit paraît surréaliste, vaillamment niché au pied d'une Usine crasseuse qui a néanmoins accueilli tellement de groupes cultes venus du monde entier. Toutefois l'ambiance y est ici familiale et délicate, et l'acoustique bien meilleure que dans d'autres clubs ayant l'exagérée prétention de se déclarer audibles du point de vue de l'amateur averti que je suis. Un cadre incroyable pour un groupe incroyable, quoi de mieux pour accueillir les Genevois de The Erkonauts, ce quartette sorti tout droit des mamelons d'un enfer maladroit qui voulait soi-disant faire peur aux enfants craignant un semblant de lueur sombre. Que nenni, car The Erkonauts vont nous abreuver d'une fantastique potion revigorante qui en ravivera plus d'un ce soir. Leur nouvel album est à l'honneur bien sûr. Les titres tirés de ‘I Did Something Bad’ sont mis aux enchères en cette soirée d'hiver et c'est bien ce que l'on attend. Le ton est donné cash directement avec ‘The Great Ass Poopery’ suivi par ‘Tony 5’. Après un souci de corde, l'auditoire aura droit à une reprise ‘The Machine’ tirée d'un groupe qu'il est inutile de nommer ici. S'ensuivront encore ‘Nola’, ‘Dominium Mundi’ et quelques autres pour le plus grand plaisir de nos oreilles. Avec un Vinch tout à fait fringuant derrière sa belle Tama Starclassic qu'il n'a pas peur de percuter, tout fan de caisse claire qu'il est comme moi de ses cymbales. Un monstre tout en puissance qui peut envoyer se faire rhabiller plus d'un batteur. Fred, entre deux gorgées de whisky, balance tel un lion féroce ses solos précis et clairs comme on les aime. Et si Bakdosh semble un brin discret physiquement, sa présence se fait parfaitement ressentir à la gratte rythmique. Quant à Ales, on dirait qu'il chevauche sa basse tel un Zeus parti (re)conquérir l'Olympe avec une voix descendant du Mordor afin d'enfin détruire le mal qui nous entoure ; si sous sa casquette son crâne paraît désertique il n'en est rien de l'énergie et de la hargne qu'il envoie à boulets rouges sur un public chauffé à bloc. Bref, un groupe qui ne demande qu'à dissoudre l'âme qui coule en vous et n'en faire qu'un ramassis de Jack Daniel's nauséabond traînant au fond d'un local suintant les dernières odeurs d'une vague fosse septique qui n'a servi qu'à engrosser les restes dzijosiens sur lesquels sont nés les sublimes Erkonauts. ‘So, if I did something bad, you gonna do something worse again because this is the way and shut up.’ À découvrir absolument si ce n'est pas encore chose faite, conseil d'ami.
[Sam]
mis en ligne le : 21.04.15 par Mikamika
KREATOR, ARCH ENEMY | Z7, Pratteln
14.12.2014
Les vieux briscards ont de quoi se réjouir : l’affiche de ce dimanche soir aligne quelques-uns des piliers les plus solides de la scène metal européenne. Nous arriverons trop tard pour savourer la prestation de la ‘première partie’ : Vader. En guise de chauffe-salle, on a vu pire. Sodom déboule sur scène à tout juste vingt heures pour asséner une leçon de thrash. Tom Angelripper et sa bande célèbrent comme il se doit le vingt-cinquième anniversaire de son best-seller ‘Agent Orange’, lui consacrant le tiers de ce bref set. Le groupe allemand est loin de vivre sur le passé et c’est plutôt à grands coups de ‘City Of God’ ou de son nouveau single ‘Sacred Warpath’ qu’il met ses fans à genoux. Un constat d’emblée à l’arrivée d’Arch Enemy : le public des Suédois s’est considérablement rajeuni depuis le transfert d’Alyssa White Gluz. Deuxième constat : ce public est sans doute plus là pour le physique de l’ex-The Agony que pour ses performances vocales. Attitude arrogante, charisme discutable (en tout cas moins évident que celui d’Angela Gossow) : la demoiselle n’a pas prouvé grand-chose au fil d’un concert longuet et soporifique. Au contraire de ses acolytes qui livrent un set sympa, alignant les brûlots (‘We Will Rise’, ‘Ravenous’, ‘Dead Eyes See No Future’). À revoir quand le nouveau line-up sera complètement rodé. Après cet interlude, Kreator a le champ libre pour tout massacrer. Et Mille Petrozza ne s’en prive pas. À l’image de Sodom, les papys du thrash ne se contentent pas de balancer un best of de leur carrière. Les incontournables ‘Endless Pain’, ‘Pleasure To Kill’ et ‘People Of The Lie’ figurent tout de même au programme mais c’est davantage vers ses trois derniers efforts que le groupe se tourne. Mélodies imparables, riffs à se démettre les cervicales et interprétation précise et puissante, light show somptueux ont fait de ce show un moment de pur bonheur.
[Dave]
mis en ligne le : 21.04.15 par Mikamika
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