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CONCOURS TRANSIT
ELECTRON RAGE (Dookoom, Algorithm, Protohype, Aïsha Devi, L-Za)
L'Usine, Genève
25.03.2016
Pour plus d'infos : http://www.transitmag.ch/index.php?Article=6028
mis en ligne le : 16.05.10 par indy
ABSORBED | Insurrection Zero 9
Black Skull
Il paraît que c’est dans les vieilles marmites qu’on fait les meilleures soupes. Loin de nous l’idée d’insulter les membres d’Absorbed en les traitant de casseroles usagées… N’empêche. À plus de quarante printemps, les Chablaisiens affichent une niaque dont pas mal de jeunes loups feraient bien de s’inspirer. Doyen de la scène locale, le combo, silencieux depuis la sortie d’un unique minci-CD en 1998, sort enfin son premier album en dix-sept ans d’activité. La recette concoctée pour ‘Insurrection Zero 9’ ne diffère guère de celle que mitonne Absorbed depuis sa naissance. Les quatre musiciens se plongent avec bonheur dans le thrash qui a abreuvé leur jeunesse. On reconnaît la patte de Sodom (ce chant râpeux évoquant très souvent celui de Tom Angelripper), celle d’Exodus, dans ces riffs groovy et mélodiques mais toujours furibards. On sent même poindre, par instants, un peu de la noirceur glaciale du Coroner de ‘Grin’ (‘Cold Winter Dead’). Rentre-dedans au point de sonner parfois un poil trop basique, les douze pièces présentées ici feront saliver les amateurs de thrash classique. Et si les influences d’Absorbed sont clairement à chercher dans les années quatre-vingt, le mix, signé Drop (Sybreed), parvient à renouer avec les prod si typées de cette époque, sans pour autant avoir l’air poussiéreux. [Dave]
http://absorbed.sw1.ch
mis en ligne le : 13.03.11 par levlic
ULVER, ZWEIZZ | Z7, Pratteln
31 mars 2011
Portes : 20h | Prix : CHF 38.-
Quoi ? Le Z7, temple du metal et du rock, trahit sa ligne pour s’offrir une soirée cent pour cent electro ? Le sidérurgiste moyen en tremble déjà. On sera pourtant très loin de l’ambiance dancefloor avec Ulver et Zweizz. Les premiers ont largement contribué à façonner le black metal avant de se tourner vers le néo-folk, délaissant rapidement ces genres au profit du trip hop sur le génial ‘Perdition City’, puis pour un rock / ambient chatoyant avec ‘Shadows Of The Sun’. Alors que le groupe prépare un nouvel album baptisé ‘Critical Geopgraphy’, on ne sait donc guère à quoi s’attendre sur le plan musical. Reste une certitude : la qualité sera au rendez-vous. Elle le sera également sur scène, comme peuvent en attester les heureux élus présents au concert de Bulle, l’an dernier. Moins connu du grand public et plus barré encore, Svein Egil Hatlevik, alias Zweizz, gratifiera le Z7 de l’une de ses rares apparitions scéniques hors de chiottes publiques. La performance de l’ex-Dødheimsgard s’annonce aussi expérimentale que chaotique et difficile d’accès, tant le grand barbu norvégien se plaît à repousser les limites de la cohérence musicale au gré de ses innombrables projets black, noise, ambient ou electro : Fleurety pour le plus noir et le plus écoutable, Pronounced ‘Sex’ pour le plus poétique (notez la touche d’ironie, svp), son récent travail avec feu Joey Hopkins pour le plus inspiré…
www.z-7.ch
mis en ligne le : 12.03.11 par indy
CAPRICES FESTIVAL | Crans-Montana
Du 6 au 9 avril 2011
Concerts : dès 18h | Prix : dès 59.-
Voici un festival multigenre que l’on ne présente plus, le Caprices Festival s’est fait une belle place parmi les plus convoités !!! Si la diversité de son affiche n’y est pas étrangère, le cadre idyllique de son site ne laisse personne indifférent. C’est donc une nouvelle édition éclectique qui s’offre à vous, festivaliers amateurs ou confirmés du Caprices. Il y en a pour tous les goûts !!! Partant de la chanson française avec Cali, Arno et Ben L’Oncle Soul, la soirée de mercredi sera frenchy. Grosse soirée aussi pour le jeudi puisque les rockers de Scorpions viendront faire vibrer les montagnes de leurs plus gros tubes, que du bonheur !!! Et pour les amateurs de reggae, sachez que le fils de Bob Marley, j’ai nommé monsieur Damian Marley, sera également de la partie. Pour ce qui est du week-end, on revient à la douceur avec Ayo le vendredi et enfin Zaz et Cocoon le samedi. Venez donc nombreux car j’en oublie plein et que ce soit une découverte pour vous ou une habitude, le Caprices Festival n’a pas fini de faire parler de lui !!! [Maud.R]
www.capricesfestival.ch
mis en ligne le : 11.03.11 par indy
MUM AND DAD (2008)
Réal. : Steven Sheil, avec Perry Benson, Dido Miles, Olga Fedori, …
2 Am Films, Em Media, Film London
Birdy et Elbie travaillent à l’aéroport. Une nouvelle collègue, Lena, rate son dernier bus pour rentrer chez elle. Les premiers l’invitent à la maison. Elle connaîtra alors les terribles secrets de la famille. Film anglais indépendant, celui-ci fut tourné avec la bagatelle de cent mille livres. Il est normal, dès cet instant, que le film soit plus axé sur la psychologie que le graphisme. Nous sommes conviés à vivre avec une famille de dégénérés qui s’est formée uniquement avec de parfaits inconnus. Le lot quotidien est fait de peur, de terreur, de lavage de cerveaux, de tâches ménagères et de séquestration, de torture et de dépravation. Tout ceci est géré par un père de famille montrant beaucoup de signes de défaillances mentales. Fait intéressant, la maison, délabrée, vieille, est faite d’objets qui semblent pris au hasard et agencés n’importe comment. Le ‘style’ se présente de manière très hétéroclite, et même si vous achetez les fins de stocks chez IKEA, ils ne peuvent pas être si curieux et si mal assortis que ce que l’on voit à l’écran. Une autre belle trouvaille consiste en l’éclairage utilisé, très simple et très sommaire, il semble avoir été étudié pour donner le maximum d’effets. Malgré ces bonnes choses, le film ressent toute cette pauvreté et possède une image de bricolage qui fait que l’on reste sceptique après la vision. [Dom]
mis en ligne le : 03.03.11 par fulopo
L’ORPHELINAT (2007)
Réal. : Juan Antonio Bayana, avec Belén Rueda, Fernando Cayo, Roger Princep, …
Esta Vivo ! Laboratorio De Nuevos Talentos, Grupo Radar, Telecinco, …
Laura décide de restaurer l’orphelinat où elle a grandi en un foyer pour enfants handicapés. Son fils Simon, plein d’amis imaginaires, en trouve un nouveau. Un jour, il disparaît en jouant avec son nouveau compagnon de jeu. Le début du film, très joyeux, nous est présenté avec du soleil et des couleurs claires. La suite, plus dramatique avec la venue des mystères, voit les tons s’assombrir. À partir de là, le soleil se fera plus rare et les nuages plus présents. Les jeux seront un des éléments centraux du film avec notamment ‘1, 2, 3, Soleil’ et ‘La Chasse Au Trésor’. Ces divertissements, très innocents pour commencer, vont se révéler plus pervers que cela, au grand dam de Laura et de son mari. Cette notion de jouer, entouré d’enfants, ajoute une sensation de malaise particulière. En plus de cela, Laura voit son passé refaire surface et doit également gérer la disparition de son fils. Ce rôle est très bien tenu par Belén Rueda qui éclipse le reste du casting, que ce soit en qualité et en minutage. Si l’on s’attend à un film d’horreur pur ou un thriller de mêmes caractéristiques, les notions d’amour maternel et d’amitié sont également présentes, et très importantes. Le final poétique et doux amer atteint des sommets en émotions que l’on ne voit pas tous les jours sur grand écran. [Dom]
mis en ligne le : 03.03.11 par fulopo
A BITTERSWEET LIFE (2005)
Réal. : Ji-woon Kim, avec Jeong-min Hwang, Yu-mi Jeong, Ku Jin, …
B.O.M. Film Productions Co.
Sunwoo est le bras droit de Kang, un redoutable chef de gang. Après avoir trahi ce dernier et le code d’honneur de la mafia, il est torturé pour obtenir des excuses. Dans son costard cravate taillé sur mesure et tiré à quatre épingles, Sunwoo, durant la première partie, exécute les ordres de manière exemplaire. Situés dans des endroits très haut de gamme, tous les codes du film noir sont présents, enrobés dans une esthétique très léchée, où le style coréen, très présent, rend le film hypnotique. L’action se déroulant lentement, les non-initiés peuvent penser que l’histoire s’enlise et que l’ennui est l’unique sentiment qui s’en dégage. Dès la sublime séquence de la punition sous la pluie battante, jusqu’à celle où Sunwoo s’échappe (ces deux scènes sont à couper le souffle), le film change de registre et on a l’impression d’assister à tout autre chose. Exit les fastes des décors tels que les belles voitures, les appartements de luxe, les villas et les clubs select. Place à un Hongkong miteux, aux endroits mal famés. C’est là que notre héros va préparer sa vengeance et l’exécuter. Celle-ci sera violente, implacable et sans pitié envers ceux qui étaient ses amis quelques jours avant. L’inévitable scène avec les truands complètement nœud-nœud ne manque pas. Nous faisant sourire, elle est bienvenue au sein de cette deuxième partie où l’action ne manque pas. [Dom]
mis en ligne le : 03.03.11 par fulopo
THE CHILDREN (2008)
Réal. : Tom Shankland, avec Eva Birthistle, Stephen Campbell Moore, Jeremy Sheffield, …
Vertigo Films, Aramid Entertainment Fund, Barnsnape Films
Elaine, Jonah et ses enfants (il faut s’accrocher pour se souvenir des prénoms des protagonistes ainsi que de qui est le fils de qui) se rendent chez la soeur de la première pour passer les fêtes de Noël en famille. Rapidement, les enfants commencent à avoir une attitude violente sans aucune raison apparente. Lorsque le film bascule puis sombre dans la folie, les plans se font beaucoup plus courts et les sons beaucoup plus stridents. ‘The Children’ n’a que des qualités et il est à classer aux côtés de films tels que ‘Les Révoltés De L’An 2000’ ou ‘Eden Lake’. En effet, si dans ces longs métrages les adultes refusent de tuer des enfants, dans celui-ci la donne est bien différente ! Ici, ils n’hésitent pas à se défendre et à tuer les marmots pour assurer leur survie. Le détail se situant dans le fait que chaque couple tente de protéger les siens, se contentant d’éliminer ceux de l’autre. Ce qui, comme vous pouvez vous en douter, créera inévitablement quelques tensions, pendant que de leur côté, nos chers petits bambins utiliseront toutes les ruses possibles pour manipuler et attendrir leurs parents. Pour l'apport non négligeable d'une touche de mystère, nous n’apprendrons rien sur l’origine de ce changement de comportement, si ce n’est deux plans évoquant la possibilité d'un virus. Remarquable travail sur les couleurs, pratiquement fluorescentes. [Dom]
mis en ligne le : 03.03.11 par fulopo
SLAYER, MEGADETH | Volkshaus, Zurich
13 avril 2011
Portes : 18h30 | Prix : CHF 74.10
Oh putain la tuerie qui s’annonce là ! Slayer et Megadeth ensemble ! La moitié du Big 4 ! J’espère que la salle sera comble et la sono parée pour un tel événement ! Mais, une fois de plus, il faudra se poser les mêmes questions : pourquoi en semaine et pourquoi en Suisse allemande ? Je ne le répéterai jamais assez mais ils sont plus forts que chez nous ! C’est à croire que les organisateurs romands ont peur du metal lourd ou qu’ils baissent trop vite les bras, allez savoir… Après trente ans d’existence, les membres de Slayer sont toujours ensemble et comme d’hab, je vais vous le redire, leur show vaut la peine d'être vu et d'être vécu. Leurs mosh pits sont exutoires dans tous les sens du terme, une véritable explosion auditive. Tom Araya nous charmera encore avec ses sourires et ses douces paroles prononcées entre deux titres qui vont nous marteler les esprits. Tu es déjà en train de préparer ton cou pour une session de headbanging monstrueux ? Rappelle-toi les gestes simples de la vie qui s’imposent lors d’un tel événement : lève ce poing et chante avec moi, ‘Slayer, Slayer, Slayer, …’. Et Megadeth, je ne dois quand même pas vous dire qui ils sont ? Mr. M. (Mustaine de son nom) est au top de sa forme, tant et si bien qu’on a presque oublié que depuis ‘Endgame’ il y a eu plusieurs changements dans le groupe. Dave Ellefson est de retour, il y a eu récemment la tournée des Big 4 et vingt ans se sont écoulés depuis la sortie de ‘Rust In Peace’. Dernièrement, leur setlist s’améliore. Vivement qu’ils nous interprètent les titres de ‘Rust In Peace’, qu’il y ait du ‘Hook In Mouth’ et surtout, un de mes titres préférés : ‘Wake Up Dead’ ! Vivement avril, c’est gentil de penser à moi à quelques jours de mon anniversaire. La première partie n’est pas encore annoncée officiellement, mais elle nous fera passer le temps jusqu’à l’absolution. [Suzy]
www.freeandvirgin.com
mis en ligne le : 27.02.11 par indy
PAGAN FEST | Les Docks, Lausanne
15 mars 2011
Portes : 18h | Prix : CHF 35.-/40.-
En accueillant l’édition 2011 du désormais célèbre Pagan Fest, les Docks se positionnent une nouvelle fois comme LA référence metal de Suisse romande (comme quoi, il arrive que nos impôts soient utilisés à des fins intéressantes). Il faudra donc probablement composer avec une sérieuse gueule de bois le lendemain car les six groupes à l’affiche se feront une joie de transformer les lieux en taverne médiévale (bon, il faudra un peu d’imagination pour voir dans les poutrelles métalliques solives et linteaux à l’ancienne), voire carrément en champ de bataille entre clans adverses (heathen vs viking ?). Je ne m’attarderai pas sur les faits d’armes, suffisamment connus, des têtes d’affiche que sont Korpiklaani, Moonsorrow, Varg et Unleashed, même si pour ces derniers il faut tout de même préciser que leur dernier passage dans les parages remonte à… longtemps, et qu’il s’agit de survivants d’une autre époque (before creation of time, quoi), bien avant que le terme de ‘pagan’ prenne son sens actuel. Mais je ne saurais assez vous encourager à pointer votre kilt assez tôt pour apprécier les Israéliens d’Arafel qui jouent un excellent black folk, mélodique, énervé et mélancolique, et qui en plus ont le bon goût de ne pas forcer sur les instruments traditionnels. [Golem XIII]
www.lesdocks.ch
mis en ligne le : 24.02.11 par indy
INFERNO FESTIVAL | Le Romandie / Les Docks, Lausanne
Du 25 au 27 février 2011
Portes : 21h | Prix : CHF 40.- (par soir) / CHF 60.- (deux soirs)
Le célèbre Inferno Festival posera ses valises en Suisse du 25 au 27 février 2011. Venu tout droit d’Oslo, l’Inferno donnera une odeur de soufre aux Docks et au Romandie à Lausanne le temps d’un week-end. Connue pour sa programmation black metal, l’édition suisse fera honneur à cette tradition. Du black metal pur et dur à l’expérimental, tel le ‘down tempo’ suisse de Rorcal ouvrant la soirée du vendredi aux Docks. De l’exotisme aussi, avec les airs grecs de Rotting Christ, qui contrasteront avec la froideur et la magie nordique d’Enslaved. Dont les musiciens ont fait évoluer le genre, sans perdre les sueurs froides et la noirceur épique norvégienne. Samedi, Aosoth, puis Negura Bunget, groupe venu de Roumanie, mêlant black metal et mélodies de Transylvanie, vous fera voyager dans les sombres et angoissantes forêts des Carpates. Moins folklorique, mais tout aussi noir, Shining prendra la suite, avec ses expérimentations sonores acerbes et provocantes. Puis, une odeur de sang, les Suédois de Watain finiront de convertir la salle avec leur esthétique noire, maléfique, et leur musique possédée. Dimanche, cela sera au tour de The Secret, mais sur la scène du Romandie. Leur mélange osé de black et de hardcore sera introduit par les Genevois de Nebra. Un artiste suisse sera à l’honneur durant l’Inferno, à la galerie Uniquement Vôtre. Tom G. Warrior (Celtic Frost) y exposera ses créations plastiques, une série de masques mortuaires, une réflexion sur la mort et son esthétique. Pour des moments moins spirituels mais tout aussi agréables, La Citadelle organisera un metal market dans l’hôtel officiel du festival, l’Alpha Palmier. Les concerts en exclusivité suisse, la rareté de cet événement dans nos contrées, et le mythe de l’Inferno finiront de convaincre les plus hésitants. À ne manquer sous aucun prétexte ! [Diane]
www.lesdocks.ch
www.leromandie.ch
mis en ligne le : 23.02.11 par indy
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