CD - TO-MERA | Exile (2012)

TO-MERA | Exile
Illusionary Records



Après deux albums et un dernier EP en 2009, trois années de silence ont permis aux alchimistes anglais de To-Mera de nous concocter ‘Exile’, une entreprise d’envergure, mélangeant pour faire simple : metal progressif et jazz, alliant des sonorités latinos et africaines jusqu’à la musique de film, tant les compositions sont évocatrices. Pour une part très technique la musique de To-Mera use et abuse avec brio de changements de rythmes et de genres avec des breaks percutants. Mais d’un autre côté, elle reste éminemment mélodique par l’assemblage des instrumentations, des ambiances et des lignes de chant du meilleur goût. Tout le paradoxe de ce savant dosage est de ne jamais rendre l’écoute ardue, bien au contraire : parfois puissantes, parfois planantes, leurs pièces variées au possible portent idéalement la voix magique de Julie Kiss. Tous les musiciens se hissent à un très haut niveau : Paul Westwood en parfaite osmose avec sa batterie, Richard Henshall brillant derrière ses claviers, Tom MacLean tout en retenue avec des soli parfaitement dosés et enfin Mark Harrington assure une basse bien présente. Enfin Julie, de plus en plus à l’aise sur toutes ces musiques improbables, apporte la respiration nécessaire à une telle densité avec des textes ciselés par sa voix cristalline, sans doute une des plus belles voix féminines du metal. Une autoproduction plus que parfaite et sans compromis vient magnifier des titres dont certains dépassent les dix minutes, sans aucune faiblesse et ce jusqu’au dernier ‘All I Am’ qui laisse dans la plus grande extase … Vous l’aurez compris, cet ‘Exile’ est au plus haut : je n’ai personnellement rien entendu d’aussi fabuleux depuis plusieurs années ! [Pascal&Co]
www.to-mera.com

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mis en ligne le : 29.01.13 par levlic

CD - ELFFOR | Unblessed Woods (2011)

ELFFOR | Unblessed Woods
Northern Silence Productions



Traînant sa carcasse dans l'underground depuis plus de quinze ans, Elffor a vu son stock d'albums diminuer jusqu'à devenir complètement épuisé. Pour pallier ce problème plutôt ennuyeux face à la demande des fans, Northern Silence a pris l'initiative de rééditer chacun des quatre albums réalisés en 1998 – 2002 – 2004 et 2006 avec des bonus et un nouvel artwork dans une période située entre 2007 et 2011. Cette année, donc, après la sortie en 2010 du cinquième album du groupe 'Frostbitten Pain' en autoproduction, la discographie particulière d'Elffor s'étoffe encore avec la réédition de 'Unblessed Woods'. Celui-ci suit l'évolution logique du projet basque, mélangeant ambiances médiévales et black metal subtil tout en arborant une ingénierie sonore plus élaborée qu'auparavant. L'approche d'Ellfor sur cet opus est posée mais très sombre, jouant plus sur les atmosphères que sur une agression pure et simple. Le résultat est fort homogène et convainquant ; un voyage froid, mystérieux dans un monde dangereux perdu dans les ténèbres… [Arnaud]
www.elffor.com

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mis en ligne le : 29.01.13 par levlic

CD - MARTY FRIEDMAN | Tokyo Jukebox 2 / BAD D.N.A. (2012)

MARTY FRIEDMAN | Tokyo Jukebox 2 / BAD D.N.A.
Verycords

Les deux albums sont en version deux en un pour cette sortie européenne, qui vient tardivement par rapport à la sortie nippone qui a eu lieu en 2010 pour ‘Tokyo Jukebox 2’ et 2011 pour ‘BAD D.N.A.’. Si tu n’as pas suivi la carrière de Marty depuis quelques années, avant cette écoute il faudra que tu vides ton esprit et que tu te prépares à un voyage dans la diversité, ah oui, et de façon uniquement instrumentale. Le premier album, ‘Tokyo Jukebox 2’, est une suite de onze titres rapides et que je qualifierais de musique joyeuse, des solos à outrances, des riffs, un bon mélange de musique moderne à la sauce nippone, le style exact c’est du J-pop ou J-rock. Certains titres tels que ‘Canon A La Kato’, mélangent des tonalités et des sons traditionnels japonais avec le son moderne de la guitare, c’est différent. Mais je suis beaucoup plus à l’aise avec les titres de ‘BAD D.N.A.’ : les rythmes accélèrent et se déchaînent littéralement, la technicité de Marty est mondialement connue, et les titres tels que ‘Specimen’ ou encore ‘Bad D.N.A.’ sont juste un régal pour les oreilles, ça part dans tous les sens. Une déferlante de riffs, de breaks, de solos, puis viennent les titres à tempo lent : ‘Random Star’ ou encore ‘Picture’, très sympa. Très difficile de catégoriser ce genre d’album, alors si tu veux écouter quelque chose de différent eh bien laisse-toi tenter, tu seras peut-être surpris. Et il y a une petite histoire de karaoké à découvrir, moi je n’ai pas cette version, mais si tu la trouves je veux bien que tu me racontes. [Suzy]
www.martyfriedman.com

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mis en ligne le : 29.01.13 par levlic

CD - HUMANITY DELETE | Never Ending Nightmares (2012)

HUMANITY DELETE | Never Ending Nightmares
Dead Beat Media



Parmi les musiciens qui ont plusieurs projets, il y a ceux qui essayent de découvrir de nouveaux horizons, et il y a ceux comme Rogga Johansson. Ce dernier possède plusieurs groupes et, inlassablement, il ne cesse pas de clamer haut et fort son amour pour le death ‘Made In Sweden’. Avec ce ‘Never Ending Nightmares’, il n’y a pas grand-chose de neuf à se mettre sous la dent. Pour ceux qui connaissent Revolting, la principale nouveauté est la présence d’une touche grind en plus. Ceci apporte un son plus cru et une production plus rentre-dedans, plus pêchue. Le tout sonne plus enragé, plus en colère. De plus, Rogga a décidé que ce groupe serait un one man band et qu’il s’occuperait de tout, de A à Z. Mis à part cette touche sauvage qui, avouons-le, est très agréable, le reste est identique à ce qu’il nous propose habituellement. Le style de compos, de rythmes et de constructions est identique à ce qu’il a sorti durant ces dernières années. Le fait que ce premier essai n’atteint pas les trente minutes permet à l’album de ne pas avoir ce fameux ventre mou, caractéristique des albums de Rogga. La question est de savoir qu’est-ce que Humanity Delete apporte de plus. Probablement rien, étant donné qu’il a eu besoin de neuf ans pour composer cet album. [Dom]
www.facebook.com/HumanityDelete

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mis en ligne le : 27.01.13 par levlic

CD - MAGICA | Center Of The Great Unknown (2012)

MAGICA | Center Of The Great Unknown
AFM



Ce groupe roumain en est à son sixième album et n’a pas encore véritablement percé par chez nous. Certes, il se trouve sur l’écurie allemande AFM depuis maintenant cinq ans et ce ‘Center Of The Great Unknown’ constitue sa quatrième offrande. Le heavy metal de l’Est n’est pas très connu, à l’exception peut-être d’un Wisdom qui pointe le bout de son nez et peut-être Ossian et Dalriada et leur hard très typé. Magica pratique du metal à la sauce Edenbridge ou Nightwish des débuts. Mais les talents d’Ana Mladinovici ne rivalisent pas et de loin avec ceux de Sabine Edelsbacher, pas plus qu’avec ceux de Tarja et d’Anette Olzon. Ils sont même assez limités, ce qui rend la musique difficile à supporter. En effet, miss Ana a la fâcheuse manie de chanter trop haut, ce qui confère à sa voix un son criard et pas très agréable. Ajoutez à cela des compositions plutôt banales, à l’instar des deux premiers morceaux de l’album, ‘Center Of The Great Unknow’ et ‘Masterspell’, ce qui fait que l’impression générale n’est pas franchement positive. Il faut attendre ‘King Of The World’ pour ressentir un relatif plaisir, grâce à une mélodie très sympathique, même s’il faut toujours faire abstraction de la voix ! La pochette de Claudio Bergamin (Arjen Lucassen, Halford) est absolument magnifique et laissait augurer une œuvre musicale de qualité. Cette dernière, basée sur des romans de science-fiction, est peut-être un peu trop ambitieuse pour les forces en présence et l’ensemble laisse un sentiment de déception. Rien ne s’améliore vraiment au cours de l’écoute et aucun morceau n’arrive à inverser le mouvement et, je le répète, la faute en incombe beaucoup à madame Mladinovici. Et ce n’est pas le bonus ‘Daca 2012’, chanté en roumain, qui va changer les choses. Ce ‘Center Of The Great Unknown’ se transforme pour finir en ‘centre-du-grand-n’importe-quoi’ et je suis au regret de vous le déconseiller. Vous économiserez votre argent et protégerez vos oreilles… [Etendhard]
www.metalmagica.ro

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mis en ligne le : 21.01.13 par levlic

CD - UNCLE ACID & THE DEADBEATS | Blood Lust (2012)

UNCLE ACID & THE DEADBEATS | Blood Lust
Rise Above Records



Une histoire pas comme les autres, voilà ce qui a amené cet obscur groupe sur le ‘devant de la scène’. Au départ, des mecs qui veulent monter un groupe et enregistrer, chose qu’ils feront bien sûr, mais avec tellement peu de moyens, qu’ils sortiront quelques CDS gravés et les distribueront lors de leurs apparitions live, autant dire quelques centaines à peine, une édition vinyle a finalement vu le jour, mais seulement pressée à deux cent cinquante exemplaires ! Les prix pour ces copies vinyles sont montés de manière indécente, atteignant sept cents livres (dans les mille francs suisses) !!! C’est pourquoi le label a fini par se décider à le presser en quantité. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’heureusement que cela s’est produit, car on serait passé à côté d’un groupe de grande qualité. Le groupe nous propose neuf titres de garage horror rock stoner démentiels, ultra planants et entraînants, sur des rythmiques lentes et lourdes à la perfection. Les fans de rock planant et / ou progressif y trouveront leur compte à n’en point douter. Mention au titre ‘13 Candles’, un bijou de mélodie et de psychédélique. Ça va être long d’attendre jusqu’en mars 2013 pour le prochain album studio ! [Lambiacidlust]
www.myspace.com/uncleacid

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mis en ligne le : 21.01.13 par levlic

CD - SOLEIL MOON | On The Way To Everything (2012)

SOLEIL MOON | On The Way To Everything
Frontiers



Avec un nom tel que Soleil Moon, ce groupe américain ne fait certainement pas dans le death metal et dès les premières notes de ‘History Repeats Its Pages’, l’auditeur sait à quoi s’en tenir. En fait, le groupe se résume à un duo, le chanteur Larry King d’une part qui officie chez Michael Thompson Band, et le clavier John Blasucci, un musicien de studio ayant travaillé avec nombre d’artistes tels que Richard Marx, Céline Dion et Michael Bolton. L’histoire de cette rencontre remonte à plusieurs années puisque déjà en 1997 ils forment le Larry King Orchestra, une société de musiciens très dynamique dans la région de Chicago. Et en 1999, Soleil Moon sort ‘Worlds Apart’ qui contient entre autres la ballade ‘I’d Die For You’ qui sera reprise par le grand Michael Kiske dans le second album de Place Vendome ‘Streets Of Fire’. L’univers de Soleil Moon fleure bon avec des mélodies chatoyantes baignant dans des nappes de claviers et des orchestrations high tech. La musique proposée fait la nique à la vague actuelle et possède ce ‘je ne sais quoi’ de rétro qui lui procure tout son charme. La production est en tout point magnifique et met en valeur chaque instrument, ainsi que les nombreux musiciens conviés par le duo, dont Michael Thompson (MTB) à la guitare. Parmi les compositions, trois sont anciennes et apparaissaient déjà sur le premier album. Il s’agit de ‘Ohio’, ‘Calling On The World’ et ladite ballade ‘I’d Die For You’. Il y a aussi une reprise des Beatles, ‘Blackbird’, et son harmonica du plus bel effet. Le reste se compose de dix chansons à l’ambiance cool, très AOR dans l’esprit, légèrement jazzy (l’énervé ‘Burn’), parfois même nerveuses comme le dansant et puissant ‘Down’, souvent pleines d’émotions comme les slows ‘Goodnight Irene’ et ‘Colorado’. Soleil Moon est à l’égal d’artistes comme Toto, Richard Marx, John Parr et Michael Bolton mais ne pourra jamais prétendre au même succès car ce style de musique n’est plus du tout trendy ces temps-ci. Par contre, quand une mélodie est belle, elle le restera à jamais et Soleil Moon nous offre ici une perle intemporelle. [Etendhard]
www.myspace.com/soleilmoonmusic

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mis en ligne le : 21.01.13 par levlic

CD - PRIDE OF LIONS | Immortal (2012)

PRIDE OF LIONS | Immortal
Frontiers



Quand on s’appelle Jim Peterik et Toby Hitchcock et qu’on unit nos forces, on ne peut que créer un joyau d’album. Et c’est ce qu’a fait Pride Of Lions depuis 2003 et plutôt trois fois qu’une, puisque toutes les productions du duo sont à marquer d’une pierre blanche, notamment l’album éponyme et ‘The Destiny Stone’ sorti en 2004. Depuis 2007, le groupe s’est tu et Peterik et Hitchcock se sont adonnés à des projets solo, notamment la production de ‘Crossroads Moments’ de son pote chez Survivor, à savoir Jimi Jamison, pour mister Jim et la sortie du faramineux ‘Mercury’s Down’ pour mister Toby. C’était donc dans la logique des choses que le duo revienne et poursuive ce qu’il avait commencé. Jim Peterik a trouvé le temps de se ressourcer et d’écrire les onze morceaux qui composent ce ‘Immortal’. La qualité semble au rendez-vous avec le titre éponyme qui entame l’album et la voix d’Hitchcock toujours aussi puissante et cristalline comme de l’eau de roche. Avec ‘Delusional’, le rythme devient légèrement poussif, ce qui se confirme avec ‘Tie Down The Wind’. Certes, les mélodies concoctées par Peterik sont agréables mais pas transcendantes. On pourrait même les qualifier de convenues, ce qui pour un tel compositeur prend des allures de fiasco. Critiquer un tel album n’est pas chose aisée, car quand on connaît le parcours remarquable de Peterik, d’abord avec Ides Of March, puis Survivor et enfin avec Pride Of Lions, c’est le profond respect pour la personne qui prime. Mais passé ce premier sentiment, les attentes sont aussi très grandes tant le personnage ne sait pas ce que décevoir veut dire. Et là, après, deux, trois, quatre morceaux, une impression désagréable se fait jour. L’album manque cruellement de punch et de morceaux phares. Toby Hitchcock fait magnifiquement son travail de chanteur et on peut même affirmer que sa voix n’a jamais été aussi belle. Elle arrive à retarder le verdict, notamment sur le poignant ‘Everything That Money Can’t Buy’, où elle se sublime, éclipsant tout ce qui l’entoure. Mais il est écrit que ce ‘Immortal ne possède pas les ingrédients qui vont en faire un classique. Ce ne sont pas les quelques notes de ‘Coin Of The Ralm’ empruntées à ‘Eye Of The Tiger’, ni le bon ‘Vital Signs’, morceau prévu pour l’album du même nom en 1984, qui vont changer quelque chose. Il faut toutefois avouer que la fin est bien supérieure et qu’elle réserve de bonnes surprises, comme les Survivoresques ‘If It Doesn’t Kill Me’ et ‘Ask Me Yesterday’. ‘Immortal’ souffre d’une programmation ratée et demeure un ton en dessous de ses prédécesseurs et cela s’apparente à une relative déception. Il fallait le dire et je l’ai dit ! [Etendhard]
www.aprideoflions.com

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mis en ligne le : 21.01.13 par levlic

CD - ACID WITCH | Witchtanic Hellucinations (2012)

ACID WITCH | Witchtanic Hellucinations
Hells Headbangers



Le retour des grands malades du heavy doom est confirmé par la sortie de cette rondelle diabolique ! Un retour aux sources, puisqu’il s’agit de leur premier effort réédité. Mélangeant des influences death, psychédéliques, des leads de malades, un son doom et une voix nous parvenant du fond des limbes de l’enfer, le groupe ne change en rien sa formule, mais pose les bases au travers de treize titres complètements déments ! Dès ‘Into The Cave’ on est bien dans le bain, ‘Swamp Spells’ enfonce le clou et nous propose un tempo presque survolté pour du doom. Pas de doute, le groupe mélange déjà autant la dérision, au vu de l’intro de l’album et des paroles et le professionnalisme qui transpire des structures et des riffs heavy de grande qualité. Le riff démentiel sur ‘Witchblood Cult’ vous emmènera loin dans les terres sombres et dévastées du doom, sur fond d’orgue Hammond hystérique. Je pourrais continuer ainsi pendant des heures, il est préférable que vous découvriez le reste par vous-même, et vous n’êtes pas au bout de vos surprise, croyez-moi ! Une réédition d’album, bien sentie par leur nouveau label, pour notre plus grand bonheur ! Doom baby doom ! [Lambiaciddoom]
www.myspace.com/acidwitch

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mis en ligne le : 21.01.13 par levlic

CD - JUDAS PRIEST | Screaming For Vengeance (2012/1982)

JUDAS PRIEST | Screaming For Vengeance
Sony



Litote : n.f. Figure de rhétorique par laquelle on dit moins pour faire entendre plus. Ex. : ‘Screaming For Vengeance’ est un disque culte. Si ‘Stained Class’, en 1978, regorgeait déjà d’hymnes et ‘British Steel’, en 1980, permettait à Judas Priest d’entrer véritablement dans la légende, ‘Screaming For Vengeance’ reste l’un de sommets de la discographie du combo de Birmingham. Trente ans après la sortie de ce monument, on n’y trouve pas grand-chose à jeter. De ‘Electric Eye’ et son riff plus acéré que les serres de l’aigle ornant la pochette à l’obsédant ‘You’ve Got Another Thing Coming’ en passant par le refrain dévastateur du morceau titre et les accents rock de ‘Bloodstone’, le huitième album du grand Prêtre de Judas touche à la perfection. Pour ceux qui auraient la mémoire courte au point de ne pas s’en souvenir, Sony fête ce trentième anniversaire en rééditant l’objet. Outre un artwork (très légèrement) customisé et rehaussé de documents photographiques d’époque (tiens, Rob Halford a eu un jour des cheveux ?), on y redécouvre ces dix hits dans une nouvelle version remasterisée. S’y ajoutent six témoignages live au son de très bonne qualité et un DVD permettant d’admirer la formation sur scène, sans perruque ni bille de billard, telle qu’elle se présentait en 1983. Au-delà de la qualité de l’original, cette édition n’est pas d’un intérêt affolant et on aurait pu attendre davantage d’efforts de Sony et du Priest pour exhumer plus de raretés et proposer un packaging un chouïa plus attrayant (encore une litote, ou plutôt un euphémisme). À défaut, cette sortie donnera à certains l’occasion de remplacer leur 33 tours usé jusqu’à l’os. [Dave]
www.judaspriest.com

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mis en ligne le : 01.01.13 par levlic

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